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Mis à jour: 25 juillet 2025
Oh! elle sera terrible... terrible... car les crimes de Frédégonde pâlissent auprès de ceux de Brunehaut, notre reine aujourd'hui,
III, cap. 16. Distribue aux pauvres. Lutte, d'où étriver, retriver, en vieux françois. Lors envoya le jeune roy Childebert messages au roy Chilperic son oncle, et le requit et pria qu'il lui envoyast Brunehaut sa mère: le roy le fit volontiers pour ce qu'il la demandoit par manière de pais et de concorde. Incidence. Atanahilde le roi d'Espagne, qui père estoit Brunehaut, mourut en ce tems.
En l'an vingt-huitiesme du règne le roy Gontran, il eut nouvele que le roy Childebert avoit un enfant receu qui eut nom Théoderic; de cette chose fu moult liés. Pour ce le manda et sa mère Brunehaut qu'ils venissent
Au monastère, le festin continuait: partout régnait une douce cordialité. À la table où se trouvaient Loysik, Ronan, le Veneur et leur famille, l'entretien continuait, vif, animé; l'on parlait en ce moment des terribles choses qui se passaient, dit-on, dans le sombre palais de la reine Brunehaut. Les heureux habitants de la vallée écoutaient ces sinistres récits avec cette curiosité avide, inquiète et souvent frissonnante, que souvent l'on éprouve
Les grands noms, les noms populaires de cette époque, ceux qui sont restés dans la mémoire des hommes, sont ceux des reines, et non des rois: ceux de Frédégonde et de Brunehaut. La seconde, fille du roi des Goths d'Espagne, esprit imbu de la culture romaine, femme pleine de grâce et d'insinuation, fut appelée, par son mariage avec Sigebert, dans la sauvage Ostrasie, dans cette Germanie gauloise, théâtre d'une invasion éternelle. Frédégonde, au contraire, génie tout barbare, s'empara de l'esprit du pauvre roi de Neustrie, roi grammairien et théologien, qui dut aux crimes de sa femme le nom de Néron de la France. Elle lui fit d'abord étrangler sa femme légitime, Galswinthe, soeur de Brunehaut; puis ses beaux-fils y passèrent, puis son beau-frère Sigebert. Cette femme terrible, entourée d'hommes dévoués qu'elle fascinait de son génie meurtrier, dont elle troublait la raison par d'enivrants breuvages , frappait par eux ses ennemis. Les dévoués antiques de l'Aquitaine et de la Germanie, les sectateurs des Hassassins, qui, sur un signe de leur chef, allaient en aveugles tuer et mourir, se retrouvent dans les serviteurs de Frédégonde. Elle-même, belle et homicide tout entourée de superstitions païennes , nous apparaît comme une Walkyrie scandinave. Elle suppléa par l'audace et le crime
Brunehaut rentra dans l'Ostrasie, où son fils enfant, Childebert II, régnait nominalement. Mais les grands ne voulurent plus obéir
Oser me retenir prisonnier, moi! officier de la maison de la reine Brunehaut! s'écria Gondowald en grinçant des dents et se débattant dans ses liens. Oh! tout ton sang ne payera pas cette audace, moine insolent! Ma redoutée maîtresse me vengera!
La vieille Brunehaut avait cru régner sous Theudebert, son petit-fils, en l'enivrant par les plaisirs. Elle n'y réussit que trop bien. Le prince imbécile fut bientôt gouverné par une jeune esclave qui chassa Brunehaut. Réfugiée près de Theuderic, en Bourgogne, dans un pays livré
Les meurtres qu'elle ne commettaient pas elles-mêmes par le poison, elles les faisaient accomplir par le poignard... Frédégonde, dont la dépravation dépassait celle de la Messaline antique, s'entourait de jeunes pages; elle les enivrait de voluptés terribles, troublait leur raison par des philtres qu'elle composait; ils entraient bientôt dans une sorte de frénésie, et elle les lançait alors sur les victimes qu'ils devaient frapper... C'est ainsi qu'elle fit poignarder le roi Sigebert, mari de Brunehaut, et empoisonner leur fils Childebert... C'est ainsi, dit-on, qu'elle a fait tuer,
III, cap. 64. Frédégonde avoit moult grant duel en son cuer de ce que elle estoit ainsi dégetée et abaissée de la hautesse et de l'honneur en quoi elle souloit estre. Et lui faisoit assez pis ce que elle savoit bien, que Brunehaut estoit plus puissante et plus honorée: pour ce apela un homme qui Holerique avoit nom , et moult estoit malicieux et desloial: si lui dist que il se pourpensast en toutes les manières comment il pourroit occire Brunehaut. Celui-ci qui de sa dame voulut accomplir la male volonté lui dist que il en penseroit bien:
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