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JEANNE. Monsieur ... vous n'êtes pas au bridge?... BRAMBOURG. Pas encore. J'attends. Je ne me presse jamais. Pas seulement quand il s'agit de bridge, mais aussi des autres jeux, même le plus grand de tous: la vie. Oui, j'ai la fatuité de croire que mon tour viendra toujours et cela me donne une grande patience. Les rebuffades me font moins de mal.

Oubliant ses projets de promenade campagnarde, la population entière de Paris se pressait autour de ces corps énormes, dont on riait parce qu'ils étaient inanimés: et les terrasses des cafés, et les débits de boissons se remplissaient... joueurs de bridge et de manille faisaient claquer les cartes sur les tables de marbre.... Mais qu'advint-il des acteurs de cette effrayante aventure? Hélas!

Oui, dis-je; et vous passez sur Waterloo Bridge, un pont qui ne s'appelle pas pour rien le Pont des Soupirs, avec votre éternel sac qui contient souvent une fortune. Un de ces soirs vous serez attaqué par quelque bandit qui vous enverra dans la Tamise, par- dessus le parapet, et le lendemain matin votre cadavre fera la planche

Autour de ces groupes d'étrangers et dans tout l'orchestre, un va-et-vient d'amateurs distraits, de snobs souriants, qui viennent potiner, entre deux parties de bridge, saluer quelques femmes, ébaucher un flirt. La pièce qu'on joue, visiblement, n'intéresse personne. Elle est une occasion de se déplacer, de s'habiller, et aussi, comme dit mon ami Jean, un moyen de tuer le temps.

Mais la plupart, moins intrépides, se répandaient dans la salle de billard, dans le salon de musique, ou s'asseyaient autour des tables de bridge. La marquise douairière, entourée d'un petit cercle, causait dans la jardin d'hiver allait être servi le thé. On discutait sur les meilleurs procédés d'éducation.

L'instant d'après, le roi Edouard sortait d'un salon voisin il venait de jouer au bridge: «Ah! dit-il avec un bon sourire, en me tendant la main, quand notre ambassadeur me présenta

La véritable Mme Bridge, pensait-il, et l'authentique belle-mère n'avaient plus pour plastron et souffre-douleurs que l'autre Jonathan, celui qui, en raison de l'atomisme vibratoire et répercussif, avait , nécessairement, fuir en ballon de quelque planète ignorée, puis descendre dans le vrai jardin de la maison même de l'incontestable veuve Sharp de Baltimore.

Ainsi, du fond de la baie de la Trinité, d'Iberville avait pris New Perlican, Bayever, Bridge, etc., jusqu'au fond de la baie même de Plaisance,

Mme Bridge, enfant capricieuse autrefois, dépassait d'un coup les dernières limites de l'acrimonie; Mme Sharp justifiait au centuple tout ce qui se fulmine contre les belles-mères dans l'omnimonde inventé par son gendre. Illuminé, faux savant, faux Américain, mangeur de dot, mauvais père!...

Le bruit court que le magnétisme américain ne se relèvera pas de cette facétie. Dès l'âge le plus tendre, Jonathan Bridge ne s'étonner de rien quand il s'agit de cerveaux yankees s'était passionné pour la science, et, certain jour, il crut avoir fait une découverte.