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Mis à jour: 10 juillet 2025


Un Français, un Breton, Plélo, était notre ministre

Chateaubriand, qui s'était préparé depuis longtemps son tombeau comme une scène éternelle de sa mémoire sur un écueil de la rade de Saint-Malo, dort dans son lit de granit battu par l'écume vaine et par le murmure aussi vain de l'océan breton; Ballanche repose, comme un serviteur fidèle, dans le caveau de famille des Récamier, couché aux pieds de la morte, après laquelle il n'aurait pas voulu vivre!

Pardon, monsieur, lui dit il, pardon de vous arrêter, mais mon ami et moi, nous nous sommes engagés dans ce sentier, un peu imprudemment, et nous ne savons vraiment pas s'il nous conduira nous désirons aller. Et désirez-vous aller?... demanda le Breton, en s'appuyant sur son peu-bas, au milieu du sentier. Au Conquet... Ce chemin y mène tout droit, messieurs...

J'admire de tout mon cœur cette fidélité! s'écria Landry, et je fais des vœux pour qu'on voie de nouveau le costume breton sous les voûtes du Palais-Bourbon... Je le souhaite d'autant plus, qu'un homme de votre valeur trouverait dans une situation législative des objets et des occupations mieux en rapport avec son éducation et son intelligence....

Le duc François se mourait d'un mal inconnu, dont les premières atteintes s'étaient déclarées en la ville d'Avranches, le soir du service funèbre célébré dans la basilique du mont Saint-Michel, pour le repos et le salut de l'âme de monsieur Gilles de Bretagne. Le 6 juin de la même année de grâce, quarante jours en ça. Le duc François avait tenu cour plus brillante que jamais prince breton.

On eût dit que la Bretagne du XVe siècle sortait du tombeau et venait demander raison de la conquête aux arrière-neveux des conquérants. Philippe d'Orléans avait senti d'abord un mouvement d'inquiétude, mais dix gentilshommes le séparaient maintenant du vieux Breton. Il oublia sa passagère frayeur. Ce bonhomme est fou, dit-il en riant; il fera peur

Un poète breton bien oublié aujourd'hui et qui eut son heure de demi-célébrité, Stéphane Halgan, a consacré tout un poème

Qu'est-ce que cette chasse, patron? dit Porthos. Eh! monseigneur, répliqua le Breton, je n'y comprends rien. Ce n'est pas en un pareil moment que le seigneur de Locmaria chasserait. Non; et, pourtant, les chiens... À moins qu'ils ne se soient échappés du chenil. Non, dit Goennec, ce ne sont pas l

Si Henry ou Jean avaient su quelles étaient ces correspondances entretenues avec tant de soin par le Breton, ils n'auraient pas manqué d'être fort intrigués. Il est vrai que Ploguen ne leur aurait jamais avoué la vérité. C'était un secret. Mais quel secret?

L'issue du combat n'est pas toujours aussi franche et décisive: deux lutteurs se rencontrent quelquefois de force presque égale, qui combattent longtemps sans qu'il y ait un vainqueur. C'est ce qui arriva au Pardon de Rosporden, en 1859: les deux rivaux étaient, dans une nature différente, comme les types du lutteur breton; l'un, grand, élancé, blond et sans barbe, quoiqu'il eût trente ans, paraissait plus jeune que son âge; on ne l'avait vu encore qu'une ou deux fois dans les luttes, et l'on doutait d'abord qu'il pût soutenir un combat un peu prolongé. Mais, quand il eut mis bas sa veste, que ses cheveux noués par derrière et sa chemise

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