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Mis à jour: 26 juin 2025


Depuis que le premier consul exerçait l'autorité suprême, sa vie n'était qu'un travail continuel. Il avait pour secrétaire particulier M. de Bourrienne, qui avait été l'ami de son enfance, et il lui faisait partager toutes ses fatigues. Il le mandait souvent plusieurs fois dans la nuit, et exigeait en outre qu'il fût chez lui dès les sept heures du matin. Bourrienne s'y rendait assidument avec les journaux, qu'il avait déj

Peu d'instants après, le prince André traversait la galerie qui réunissait l'aile du château au corps de logis, et il y rencontra la jolie et sémillante Mlle Bourrienne; c'était la troisième fois de la journée qu'elle se trouvait sur son chemin. «Ah! je vous croyais chez vousdit-elle en rougissant et en baissant les yeux.

Métivier haussa les épaules, s'approcha de Mlle Bourrienne, qui,

Efforts des alliés pour séparer la France de l'empereur. Vérité des paroles de Sa Majesté prouvée par les événemens. Copies de la déclaration de Francfort circulant dans Paris. Pièce de comparaison avec le discours de l'empereur. La mauvaise foi des étrangers reconnue par M. de Bourrienne. Réflexion sur un passage de ses Mémoires. M. de Bourrienne en surveillance. M. le duc de Rovigo son défenseur. But des ennemis atteint en partie. M. le comte Regnault de Saint-Jean d'Angély au corps législatif. Commission du corps-législatif. Mot de l'empereur et les cinq avocats. Lettre de l'empereur au duc de Massa. Réunion de deux commissions chez le prince archi-chancelier. Conduite réservée du sénat. Visites fréquentes de M. le duc de Rovigo

«Soldats! lorsqu'il en sera temps, je serai au milieu de vous, et l'Europe étonnée se souviendra que vous êtes de la race des bravesBourrienne leva la tête, attendant, après ces derniers mots écrits. Eh bien, c'est tout, dit Bonaparte. Ajouterai-je, les mots sacramentels: «Vive la RépubliquePourquoi demandez-vous cela?

Faites porter cela par ordonnance, dit Bourrienne. Il y a réponse, ajouta Bonaparte. L'officier referma la porte. Bourrienne, dit le général en montrant Roland, regarde ton ami. Eh bien, général, je le regarde. Sais-tu ce qu'il a fait

Bourrienne avait une mémoire prodigieuse; il parlait, écrivait plusieurs langues, faisait courir sa plume aussi vite que la parole. Ces avantages n'étaient pas les seuls qu'il possédait. Il connaissait l'administration, le droit public, et avait une activité, un dévoûment, qui en faisaient un homme indispensable au premier consul.

Dans ce dénombrement n'oublions pas le citoyen Bourrienne. Des habitués du quartier-général, c'est celui qu'on y rencontrait le moins souvent, quoiqu'il n'en sortît jamais. Habituellement retenu dans le cabinet par ses fonctions de secrétaire particulier, il ne se montrait guère qu'aux heures des repas et de la promenade. À la manière dont son chef le traitait, il était évident qu'on ne considérait pas uniquement en lui l'ami de collège. Intelligent, actif, infatigable, saisissant sur un mot la pensée d'un homme en qui les pensées se succédaient avec une incroyable rapidité, et la traduisant en une ligne, Bourrienne avait incontestablement une partie des rares qualités qu'exigeaient les fonctions de secrétaire auprès d'un génie qui ne se reposait jamais; et il est probable que Bonaparte, qui tenait tant

Il était arrivé la veille au soir, et son père, lui remettant aussitôt le billet de Natacha, que Mlle Bourrienne avait traîtreusement enlevé

Le lieu de l'entrevue était l'ancien appartement occupé par M. de Bourrienne, dont l'escalier donnait dans la chambre

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