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Mis à jour: 3 mai 2025
Pendant deux mois, les petites de Duras restèrent au Bouilh sans leur mère, qui alla s'occuper de ses affaires avec son mari. Je les aimais comme mes enfants, et elles ont conservé un bon souvenir de ce temps de leur jeunesse, comme elles me l'ont souvent répété depuis. Leur amitié pour mes chères filles, Charlotte et Cécile, a pris naissance alors pour ne cesser qu'
Outre ces 30.000 francs de rentes de La Roche-Chalais, nous perdîmes le passage de Cubzac, sur la Dordogne, 12.000 francs; les rentes du Bouilh, d'Ambleville, de Tesson, de Cénevières, belle terre dans le Quercey, dont mon beau-père fut obligé de vendre le domaine l'année suivante. Voil
À cela se borna notre vue du grand homme. Nous retournâmes au Bouilh toutes trois, fatiguées et de mauvaise humeur.
La noce se fit au Bouilh, le 1er avril 1807. Il n'y avait encore de fleurs que des petites marguerites doubles, roses et blanches. Mme de Maurville, Charlotte et moi, nous fîmes un charmant surtout pour le dîner: le fond était de mousse, avec les noms d'Henri et d'
Tout en causant de l'Angleterre avec mon compagnon, la nuit se passa, et les premières lueurs du jour nous montrèrent la blanche Albion, dont un fort vent du sud-est nous avait rapprochés. Lorsque l'ancre tomba sur le sol britannique, on vit sortir de l'écoutille les tristes figures des passagers, plus ou moins pâles et défaits. Ma pauvre bonne, dont la plus longue navigation avait été du Bouilh
Je lui donnais les restes de mon dîner et de mon pain blanc de Saintonge, souvent aussi des œufs, dont j'étais toujours bien approvisionnée par les paysans du Bouilh. On en faisait d'excellentes omelettes avec les truffes que mon cuisinier prélevait sur les provisions de cuisine des représentants du peuple. C'était, dans notre refuge, un sujet d'amusement et de rire.
Enfin, nous arrivâmes au Bouilh, où je fus heureuse de me retrouver. J'avais grand besoin de repos. Une excellente fille que j'y avais laissée avait pris soin de tout, malgré l'apparence de séquestre que l'on avait remis sur le château. Mon mari arriva peu de jours après, et nous nous trouvâmes enfin tous réunis chez nous.
On avait envoyé au Bouilh deux officiers, dont un déj
Mais revenons au Bouilh. Peu de temps après notre installation, une cousine de mon mari, Mme de Maurville, vint nous y retrouver. Elle avait été dépouillée des biens qu'elle possédait en France, et sa principale ressource consistait en une pension de 40 livres sterling que lui faisait l'Angleterre. On la lui avait accordée comme veuve d'un officier général de la marine française qui avait pris un grade en Angleterre, chose, on peut le dire en passant, assez vilaine. Elle avait une soeur dont le mari, M. de Villedon, servait la République de corps et d'âme. M. de Villedon avait le malheur d'être gentilhomme et sa femme était très bien née. Ils crurent devoir donner des arrhes, comme on disait alors,
Nous demeurâmes au Bouilh tout l'hiver et une partie du printemps. Vers le mois de juillet 1797, mon mari reconnut la nécessité de se rendre
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