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Mis à jour: 17 juillet 2025
Oh! répondit très doucement Sylvestre, elle est vieille, pauvre, il faut bien qu'elle gagne sa vie. Je n'en vois pas la nécessité, fit Renaudeau. Jolie silhouette pour un roman «parisien», dit Fortier. Parce qu'elle serait vraie, sans doute? demanda Jean Chrétien, un poète qui faisait profession de bouddhisme. Est-ce que vous seriez devenu moderniste?
Quand je parle du bouddhisme de M. Leconte de Lisle, il faut s'entendre. Je sais bien qu'il vit
On sait qu'il y a toujours eu grande sympathie et nombreux rapprochements entre le bouddhisme et le sivaïsme, sans doute parce que ce dernier était très rationnaliste et presque monothéiste, tandis que le vishnouvisme représentait le panthéisme et l'idolâtrie. Le sivaïsme est resté longtemps la religion professionnelle des Brahmes lettrés.
Il semble que, sous le bouddhisme, la ville d'Angkor connut l'apogée de sa gloire. Mais l'histoire de son rapide et mystérieux déclin n'a pas été écrite, et la forêt envahissante en garde le secret.
Le prêtre éclata de rire. Ah! ah! ah! le Bouddhisme. Mme de Noares leva les bras. Le Bouddhisme! Comment, le Bouddhisme? répétait le comte. Le connaissez-vous? dit Pécuchet
A mesure que les siècles s'écoulaient, la civilisation gagnait sur la barbarie monticole; les idées religieuses, les pratiques sociales des plaines s'infiltraient; les influences du brahmanisme et du bouddhisme, puis de l'islam, pénétraient jusque dans les cantons reculés, réveillaient de lointains échos. Néanmoins, jusqu'aux cinquante dernières années, les districts intérieurs étaient restés inconnus, donc indépendants. Mais voici venir voyageurs anglais, missionnaires chrétiens de toute dénomination et de toute provenance, commerçants, ingénieurs et soldats. Les histoires de conquête se ressemblent toutes. La Compagnie des Indes se ménagea des intelligences dans les places, se fit des amis; les riches et puissants n'y ont pas grand'peine avec les ignorants et besogneux, facilement jaloux les uns des autres. On vit surgir de belles routes carrossables, sur lesquelles firent leur apparition infanterie, cavalerie, artillerie. Sans bruit, sans éclat ni menaces, avançant graduellement, les habits rouges occupèrent des points stratégiques, d'où l'argent se répandait
Krishna fut un prince, ou chef indigène (le mot krishna veut dire noir), guerrier habile et heureux, qui rendit aux Brahmes des services signalés dans le cours de leurs luttes contre les Kchattrias, et dont les premiers, en récompense, firent une incarnation de Vichnou. Son culte et ses légendes, notamment celles de ses amours avec Radha, furent, dès l'origine, très licencieux, et Krishna fut sans doute tout d'abord le dieu du plaisir. Le Lalita-Vistara (vie poétique de Bouddha) confond Krishna avec Marah, le tentateur, le dieu de la concupiscence. Pour les besoins de leur lutte contre le bouddhisme, les Brahmes relevèrent le culte de Krishna, fort goûté du sensualisme hindou; ils lui laissèrent probablement toute la licence de ses pratiques pour le bas peuple, mais en même temps ils s'efforcèrent de l'entourer aux yeux des classes élevées d'une auréole de mysticisme. Krishna s'élève
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