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Mis à jour: 7 mai 2025
Quant aux plus mâles acteurs du drame, Prospère, Galiban, Stephano, c'étaient des poètes tels que MM. Maurice Bouchor, Raoul Ponchon, Amédée Pigeon, Félix Rabbe, qui les faisaient parler. Sans compter Coquelin cadet, qui n'a point dédaigné de dire le prologue, ainsi que le gai rôle du bouffon Trinculo.
Quant au jaloux Asmodée, M. Maurice Bouchor ne l'a point pris au sérieux. Il en a fait un personnage absolument ridicule, alléguant que la Bible elle-même prêtait un rôle assez comique au démon amoureux qui, dans cette histoire, est quelque chose comme le chien du jardinier. Il est
Ce conte enfantin et vénérable, M. Maurice Bouchor l'a dialogué et mis en vers pour les marionnettes. Il s'y est pris avec une simplicité heureuse, un beau naturel, et a fait un mélange unique d'enthousiasme et de bouffonnerie. Son poème nous a tous ravis; on ne sait ce que c'est, et c'est délicieux.
Toutes les fois que M. Maurice Bouchor fait parler l'archange, on croit entendre l'âme grave et pure de l'antique Israël. Au jeune Tobie qui demande s'il peut aimer, selon la loi, la vierge Sara, issue, comme lui de Nephtali, Raphaël répond: .....Cet amour est permis. Mais, ô candide enfant, si l'
C'était une des dernières fêtes «corporatives» de la grand'ville. Il ne lui reste plus en ce genre que la Sainte-Catherine et la Sainte-Cécile, la Sainte-Catherine qui, chaque 25 novembre, met en rumeur le quartier de l'Opéra, patrie d'élection des petites «midinettes», lesquelles la célèbrent de la plus simple et de la plus charmante façon du monde en se promenant bras dessus, bras dessous, coiffées de bonnets en papier, le long de la rue de la Paix; la Sainte-Cécile, dont la fête, plus aristocratique, est l'occasion de magnifiques solennités artistiques dans toutes les églises de Paris. Sainte Cécile jouit d'un enviable privilège: ce ne sont pas seulement de grands peintres comme Gérard Seghers, Raphaël, le Dominiquin, Carlo Dolce, qui se sont inspirés de sa vie dans des tableaux célèbres; Santeuil, Dryden et, plus récemment, M. Maurice Bouchor, lui ont tressé de beaux vers. Quant aux musiciens, il n'en est point un qui ne lui ait dédié quelque cantate ou quelque symphonie. Cette unanimité des artistes et des poètes est bien significative et donne une physionomie
Il y a une vingtaine d'années, au temps des mystères de Maurice Bouchor et des cigognes de M. de Vogüé, on rencontrait fréquemment dans les livres, et même au théâtre, un sentiment que j'avais appelé «la piété sans la foi». La piété sans la foi, disais-je, consiste
Les pieux antiquaires qu'anime la poétique folie du folklore, les Maurice Bouchor, les Gabriel Vicaire, les Paul Sébillot, les Charles de Sivry, les Henry Carnoy, les Albert Meyrac, les Jean-François Bladé, qui vont par les campagnes recueillant sur les lèvres des bergers et des vieilles filandières les secrets de la muse rustique, ont transcrit et noté plus d'un petit poème exquis, plus d'une suave mélodie qui s'allaient perdre sans écho dans les bois et les champs, car la chanson populaire est près de s'éteindre.
Rien ne peut s'accomplir sans lutte et sans douleur. Quel patient effort pour que s'ouvre une fleur! M. BOUCHOR, Les Mystères d'Eleusis. Le génie, c'est un grand effort.
C'est le sujet du plus vieux roman du monde, de ce roman chaldéen d'où les Juifs ont tiré l'histoire de Tobie, nouvellement mise en vers par Maurice Bouchor. Pour concevoir ce qu'il peut entrer de diableries dans la tête d'un paysan gascon, il faut ajouter
La revision, vous ne l'aurez pas. Ce serait la guerre. Trois ministres et vingt députés me l'ont dit. Le poète Bouchor, répondit M. Bergeret, nous enseigne qu'il vaut mieux endurer les maux de la guerre que d'accomplir une action injuste. Mais vous n'êtes point dans cette alternative, messieurs, et l'on vous effraye avec des mensonges.
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