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Mis à jour: 1 juillet 2025
Quand j'avais commandé un fois, jé voulais pas commander un autre fois; c'était un troublement pour lé stomach.» Caroline se dépêcha d'apporter la seconde dinde; l'Anglais la découpa et voulut en servir de larges parts comme la première fois; mais Mme Bonard partagea son énorme morceau avec son mari. M. GEORGEY. Oh! quoi vous faisez, Madme Bonarde? Vous pas manger tout?
«Elle répondait rien. Jé regardais, et jé voyais qu'elle pleurait si énormément fort, que pouvait pas dire un parole. Jé dis lé troisième fois: « Madme Bonarde, jé voulais, jé devais dire
«Et puis elle mé disait j'étais oune cruel, j'avais méchanceté; elle très colère. Moi jé disais: « Quoi vous avez? J'avais fait exprès. Fridric s'en aller pour lé guerre, pour lé boulète, c'était affreux!» «Moi lui dire rien, c'était un tourmentement terrible; elle croire Fridric morte. «Pas du tout. Fridric seulement partir. «Madme Bonarde alors content, parfaitement heureux.
«Alors j'avais dit dans mon cervelle: Pétite Juliène était une honnête créature; quoi il faisait avec Mme Bonarde? Il gardait les turkeys. Ce n'était pas une instruction, garder turkeys et batter moi et Caroline. Jé voulais faire bien
L'exclamation de Frédéric attira l'attention de M. Georgey; il se retourna, reconnut Frédéric et Alcide, et s'écria: «Lé pétite Bonarde! Oh! my goodness!» Le pauvre M. Georgey resta comme pétrifié. LE GENDARME. Veuillez, Monsieur, venir reconnaître si l'or et la chaîne que nous avons trouvés dans la poche de ce garçon sont
Il devint pensif; le passé lui revenait. M. GEORGEY. Allons, maréchal des logis, pas parler de dix-sept ans. Parlé de vingt-deux, c'était plus agréable. Voyez, papa Bonarde. Combien votre garçon il était superbe. Et magnifiques galons! Et moi qui voyais arriver lé galons sur mon toit. BONARD. Comment, sur votre toit? Quel toit? M. GEORGEY. C'était lé toiture du colonel. Jé voyais de mon lunette.
Il aimait turkey, mais pas lé gourmandise.» Les Bonard ne purent s'empêcher de rire; Julien lui-même sourit en regardant rire ses maîtres. M. GEORGEY. Quoi vous avez, Madme Bonarde? J'avais dit un sottise? Eh! j'étais content alors. Pétite Juliène il riait, il avait fini lé pleurnichement.»
M. GEORGEY. Quoi vous avez, povre Madme Bonarde? Pourquoi vous faisez des pleurements? MADAME BONARD. Ah! Monsieur, j'ai bien du chagrin! Je ne peux plus me contenir. Il faut que je pleure pour me soulager le coeur. M. GEORGEY. Pour quelle chose le coeur
Lui apprendre tout: avoir l'argent beaucoup: avoir lé bonne religion catholique. Tout ça excellent. MADAME BONARD. Vous avez raison, Monsieur: je le sais, je le vois... Prenez-le, Monsieur, mais après la foire. M. GEORGEY. Bravo, Madme Bonarde, vous bonne créature: moi beaucoup remercier vous. Jé viendrai lé jour de lendemain du foire. Adieu, bonsoir.»
Vous, serrez lé gorge du turkey; lui être morte et pas courir, pas sauver chez Madme Bonarde. CAROLINE. Ah! Monsieur veut dire étranglé? M. GEORGEY. Yes, yes, my dear, stranglé. Moi croyais fallait dire strangled; c'était stranglé. C'était la même chose. Allez vitement.» Caroline partit en riant. Elle avait
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