United States or Vietnam ? Vote for the TOP Country of the Week !


M. GEORGEY. Caroline, my dear, vous acheter tous les turkeys de Madme Bonard, et tous les semaines vous prendre deux turkeys, et moi manger deux turkeys. CAROLINE. Combien faut-il les payer, Monsieur? M. GEORGEY. Vous payer quoi demandait Madme Bonard, et vous faire mes salutations. Allez, my dear, vous courir vitementLa tête de M. Georgey disparut; la fenêtre se referma.

Alcide était une malhonnête, une voleure? Et le Fridrick aussi? BONARD. Combien vous les a-t-il vendues? L'ANGLAIS. Deux premièrs, six: grosse dernièr, houit. Il disait c'était plus grosse. BONARD. Ce fripon vous a volé et moi aussi. L'ANGLAIS, inquiet. Et mangeais plus vos grosses turkeys? BONARD. Si fait: je vous en vendrai

L'ANGLAIS. Pêtre? Quoi c'est, pêtre? JULIEN. Paître, manger. Je ne les rentre que le soir. L'ANGLAIS. Moi, comprends pas très bien. Toi manger toutes les grosses turkeys? Aujourd'hui? JULIEN. Non, M'sieur... Adieu, M'sieur

avais un peu beaucoup peur Frédéric mangeait les turkeys dans l'absentement de pétite Juliène. MADAME BONARD, riant. Oh! Monsieur, Frédéric ne mangera pas quarante-quatre dindons, malgré qu'il soit un peu gourmand. M. GEORGEY. Frédéric était gourmand! Fy! C'était laide, c'était affreuse, c'était horrible d'avoir gourmandise. Pétite Juliène n'avait pas gourmandise.

Pétite himbécile! parlais français comme toi, parlais pas turk. Et disais: voulais acheter ces grosses hanimals, ces grosses turkeys. JULIEN. riant. Ah! bien, je comprends. M'sieur appelle mes dindes des Turcs. Et M'sieur veut les avoir? L'ANGLAIS. Eh oui! pétite! Combien elles coûtaient? JULIEN. Elles ne sont pas

M. GEORGEY. Caroline. Caroline, j'avais les turkeys; j'avais strangled deux grosses: ils étaient lourdes terriblementLes dindes étaient réunies: Caroline accourut près de son maître et regarda celles qu'il tenait. CAROLINE. Mais, Monsieur, elles sont mortes; vous les avez étranglées? M. GEORGEY, souriant. Yes, my dear; voulais manger des turkeys, toujours des turkeys. CAROLINE. Mais.

«Pleure pas, pétite Juliène, toi faire comme ton volonté. faisais demain et tous les matinées un rencontrement avec les turkeys. Quand il fera trois semaines, toi diras

M. Bonarde m'a dit c'était pas lui. C'était pas croyable comme tu étais une malhonnête pour les turkeys. ALCIDE. Monsieur, je vous assure que M. Bonard s'est trompé; il croit Julien qui est un menteur; moi, Monsieur, je vous aime bien, et je ferai tout ce que vous voudrez pour vous contenter et vous bien servir. M. GEORGEY. Moi voir cette chose tardivement, moi demander

Mme Bonard sanglotait. Bonard avait laissé tomber sa tête dans ses mains et gémissait. Frédéric, atterré, plus pâle qu'un linge, s'était affaissé sur ses genoux et n'osait bouger. Julien pleurait en silence. M. Georgey les regardait avec pitié. «Povres parents! j'avais devoir de parler. Pour les turkeys, moi j'avais rien dit; et moi avais fait découverte que les deux étaient pétites voleurs.

Tu avais battu Caroline pour les turkeys, c'était fort joli; tu avais dit no, no, pour son money, c'était plus excellent encore. Tu avais battu moi, fort, très fort, c'était admirable, et dis admirable!