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Mis à jour: 17 juin 2025
Beugnot, qui avait la spécialité des Mots historiques, brevetés avec la garantie du gouvernement, en fabriqua un qui, du Moniteur, fit le tour de l'Europe comme le plus beau trait du règne de Louis XVIII: «Allez dire au maréchal Blücher que s'il ne prend pas les mesures nécessaires, je me ferai porter de ma personne sur le Pont, pour sauter de compagnie.»
Le général Blucher et le duc de Weimar, voyant le chemin de Stettin fermé, se portaient sur leur gauche, comme pour retourner sur l'Elbe; mais le maréchal Soult avait prévu ce mouvement: et il y a peu de doute que ces deux corps ne tombent bientôt entre nos mains. Le maréchal a réuni son corps d'armée
En 1814, Blucher et Schwarzenberg, poursuivant Napoléon, envahirent la France par les vallées de l'Aube, de la Marne et de la Seine. En 1815, l'armée anglo-prussienne de Wellington, Blucher et Bulow, venant de Waterloo, se dirigea vers Paris par les vallées de l'Escaut, de l'Oise et de l'Aisne.
Attaquer Blücher quand l'armée du Nord venait de le joindre, et que ses forces réunies s'élevaient certainement
Schwartzenberg s'avançait sur Paris par la route de Bourgogne, Blucher arrivait par celle de la Champagne. J'eus peur pour le pape, qui était encore
Le maréchal Blucher nous a fait déclarer par le prince de Schoenburgh et le comte de Noslitz plus spécialement chargé de ses pouvoirs, que la France ne serait en aucune manière, gênée dans le choix de son gouvernement; mais dans l'armistice qu'il proposait, il demandait, pour sûreté de son armée, les places de Metz, de Thionville, de Mezières, de Maubeuge, de Sarrelouis et autres. Il part du principe qu'il doit être nanti contre les efforts que pourrait tenter le parti qu'il suppose
Wellington et Blucher, devenus alors possesseurs paisibles du champ de bataille, le parcoururent en maîtres. Mais par combien de sang cet injuste triomphe ne fut-il pas acheté? Jamais, non jamais, les Français ne portèrent
Le projet de Blucher et la proximité de nos troupes du lieu où se trouvait détenu Napoléon, jetèrent la commission dans les plus vives alarmes.
Combat de Château-Thierry a l'avantage des Français. Même jour. Autre combat de Vaux-Champ; le général Blucher est encore battu et obligé d'abandonner une partie de ses équipages pour s'échapper. L'armée de Silésie, qu'il commandait, est obligé de repasser la Marne. 14 février. Combat de Soissons. Le général russe Wintzingerode s'empare de cette ville.
Dans le vingt-neuvième bulletin, on a dit que le corps du général Blucher avait fourni seize mille prisonniers, parmi lesquels quatre mille de cavalerie. On s'est trompé, il y avait vingt-un mille prisonniers, parmi lesquels cinq mille hommes de cavalerie montés; de sorte que, par le résultat de ces deux capitulations, nous avons cent vingt drapeaux et étendards, et quarante-cinq mille prisonniers. Le nombre des prisonniers qui ont été faits dans la campagne passe cent quarante mille; le nombre des drapeaux pris passe deux cent cinquante; le nombre des pièces de campagne prises devant l'ennemi et sur le champ de bataille, passe huit cents; celui des pièces prises
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