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Mis à jour: 17 mai 2025
Le général Blücher, commandant en chef toute l'armée de Silésie, était constamment resté
Napoléon se trouvait alors avec cent trente mille hommes réunis et disponibles. C'était assurément l'occasion d'agir offensivement d'une manière décidée, de changer le théâtre de la guerre et le système de démonstration impuissante de mouvements de va-et-vient qui avaient si fort diminué ses forces, et l'avaient fait si rapidement déchoir. Une offensive vive sur Blücher et le prince royal de Suède, qui l'aurait porté au del
Le même jour, l'armée du maréchal Blucher, forte de 90,000 hommes, ralliés avec une grande habileté, était postée sur les hauteurs de Bry et de Sombref, et occupait les villages de Ligny et de St.-Amand, qui garnissaient son front. Sa cavalerie se prolongeait fort avant sur la route de Namur .
«Le corps de Sacken, composé de trois divisions, ou environ seize mille hommes; enfin un corps prussien, commandé par les généraux Blücher et York, de vingt-cinq
L'Empereur fut reconnaître, en personne, la position de Blucher; et, pénétrant les desseins de ce général, résolut de lui livrer bataille, avant que ses réserves et l'armée Anglaise qu'il cherchait
Il est évident que le motif sur lequel le prince Blucher fonde la demande qu'il a faite de six de nos places de guerre que l'on nomme, et de quelques autres que l'on ne nomme pas, que ce motif, la sûreté de son armée, est une de ces allégations mises en avant par la force, pour porter aussi loin qu'il est possible le bénéfice des succès d'un moment. Cette allégation est des plus faciles
Le 31 décembre 1813, Blücher passait le Rhin avec ses soldats. Bientôt un million d'ennemis vont combattre trois cent mille Français qui, sous la direction de leur Empereur, se couvriront d'une gloire immortelle. Napoléon, qui lutte non seulement pour maintenir ses conquêtes et sauver l'avenir de sa dynastie, a retrouvé le secret des belles et grandes combinaisons d'autrefois.
J'ignore si M. de Tromeling fut également chargé de quelque note semblable, ou si le lord Wellington interposa son autorité; mais le prince Blucher, devenu tout-
Le prince de Blücher avait acheté, voici quelque dix ans, un des îlots de l'archipel anglo-normand, Herm, entre Guernesey et Sercq. Il y avait fait construire un somptueux château. Avec une morgue bien prussienne, il ne manquait jamais une occasion d'insulter, et même d'outrager les touristes qui débarquaient sur les rivages de son île, qu'ils fussent Français ou Anglais.
La victoire de Ligny ne remplit point entièrement l'attente de l'Empereur. «Si le maréchal Ney, dit-il, avait attaqué les Anglais avec toutes ses forces, il les aurait écrasés, et serait venu donner le coup de grâce aux Prussiens; et si, après avoir fait cette première faute, il n'eût point fait la seconde sottise, d'empêcher le mouvement du comte d'Erlon, l'intervention du premier corps aurait abrégé la résistance de Blucher, et rendu sa défaite irréparable: toute son armée aurait été prise ou détruite.»
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