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Mis à jour: 11 juin 2025
L'armée ennemie de Silésie qui s'était portée, la droite, commandée par Sacken, sur Kamenz, la gauche, commandée par Langeron, sur Neustadt aux débouchés de Bohême, et le centre, commandé par Yorck, sur Bischoffswerda, se mit sur le champ en retraite de tous côtés. Le général Gérard, commandant notre avant-garde, la poussa vivement, et lui fit quelques prisonniers. L'ennemi fut mené battant jusqu'
L'armée ennemie de Blücher, Sacken, Yorck, Winzingerode et de Bulow était en retraite; sans la trahison du commandant de la ville de Soissons, qui a livré ses portes, cette armée était perdue. Le général Corbineau est entré, le 5,
Mous restâmes dans notre position pendant la journée du 1er mars. L'ennemi tenta de nous déposter, et le général Kleist, soutenu par le général Klospewich, m'attaqua sans succès, tandis que Sacken opérait une diversion en faisant un simulacre du passage de l'Ourcq devant le maréchal Mortier. Le 2 au matin, tout annonça la retraite de l'ennemi sur l'Aisne.
Le corps d'Olsouffieff s'y trouvait placé en intermédiaire entre le corps de Sacken et Montmirail, et le corps de Kleist
«J'ai l'honneur de vous rendre compte que le corps de Sacken suit la même route que moi, tandis que le corps d'York, qui a passé la Sarre
Dans tous les cas, Hallstatt a pu recevoir de bonne heure l'étain de Cornouaille, et par conséquent non-seulement forger le bronze, mais encore le fabriquer. Elle recevait aussi l'ambre de la Baltique, qui n'est guère moins éloignée. Peu importerait d'ailleurs, dit avec raison M. de Sacken , en ce qui concerne la constatation d'une civilisation assez avancée, que les objets d'art fussent importés ou exécutés dans le pays; ni ceux qui les fabriquaient, ni ceux pour le goût desquels le commerce demandait des œuvres délicates et coûteuses ne peuvent avoir été des sauvages. Et les formes rudimentaires de certains objets trouvés
L'armée du général Blücher, composée des débris des corps des généraux Sacken, Kleist et Yorck, se retira, après les batailles de Montmirail et de Vauchamp, par Reims, sur Châlons. Elle y reçut les deux dernières divisions du corps du général Langeron, qui étaient encore restées devant Mayence, et elle y reforma ses cadres. Sa perte avait été telle, qu'elle fut obligée de les réduire
«Le corps de Sacken, composé de trois divisions, ou environ seize mille hommes; enfin un corps prussien, commandé par les généraux Blücher et York, de vingt-cinq
Il y a donc, ajoute le judicieux conservateur du Musée de Vienne, une grande imprudence dans ce procédé d'archéologie préhistorique (si largement employé pourtant) qui fait reposer principalement sur la matière employée la classification des âges. C'est le style de l'ornementation, c'est la forme des objets industriels qui établissent surtout la marche des générations, la succession des races, leurs influences diverses; tels sont les principes que proclame hautement M. de Sacken et qu'il a lui-même appliqués avec fermeté dans ses conclusions. Il affirme d'ailleurs que, pour trouver en Allemagne (au moins dans le Sud) le véritable âge du fer, celui où l'emploi de ce métal a positivement dominé, sans néanmoins exclure celui du bronze, il faut sortir des temps préhistoriques, puisqu'il faut arriver
«D'après la certitude que j'ai, que j'aurai demain matin le corps de Sacken en présence et le corps prussien plus près que moi de Metz, je pars cette nuit pour me rapprocher de cette ville, où j'arriverai demain soir, et je tiendrai position derrière la Moselle tout le temps que je pourrai. «Sa Majesté peut juger de l'esprit qui règne parmi les conscrits par ce qui vient de se passer.
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