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Mis à jour: 26 juin 2025


D'abord, il s'éleva des plaintes dans le pays contre cette administration. Bientôt, un ordonnateur français arriva, et, soit rivalité, soit justice, il accuse l'intendant prussien de fatiguer le pays par d'énormes réquisitions de bestiaux. «Il les envoyait, disait-on, dans la Prusse, épuisée par notre passage; l'armée en était frustrée, bientôt la disette s'y ferait sentirSelon lui, Yorck n'ignorait pas cette manoeuvre. Macdonald crut

Le roi de Prusse désavoua Yorck. Il le destitua, nomma Kleist pour le remplacer, donna ordre

L'armée de Silésie, commandée par les généraux prussiens Blucher et Yorck, et par les généraux russes Sacken et Langeron, paraissait se réunir

Ce maréchal dirigea sa retraite sur Tilsitt, en passant entre Telzs et Szawlia. Yorck et la plus grande partie des Prussiens formant son arrière-garde, marchèrent

L'armée ennemie de Silésie qui s'était portée, la droite, commandée par Sacken, sur Kamenz, la gauche, commandée par Langeron, sur Neustadt aux débouchés de Bohême, et le centre, commandé par Yorck, sur Bischoffswerda, se mit sur le champ en retraite de tous côtés. Le général Gérard, commandant notre avant-garde, la poussa vivement, et lui fit quelques prisonniers. L'ennemi fut mené battant jusqu'

L'armée ennemie de Blücher, Sacken, Yorck, Winzingerode et de Bulow était en retraite; sans la trahison du commandant de la ville de Soissons, qui a livré ses portes, cette armée était perdue. Le général Corbineau est entré, le 5,

On doit remarquer que cette nation prussienne, qui entraînait son souverain vers Yorck, n'osa elle-même se soulever que successivement, en vue des Russes, et seulement

Le général Sacken et le général Yorck étaient

L'armée du général Blücher, composée des débris des corps des généraux Sacken, Kleist et Yorck, se retira, après les batailles de Montmirail et de Vauchamp, par Reims, sur Châlons. Elle y reçut les deux dernières divisions du corps du général Langeron, qui étaient encore restées devant Mayence, et elle y reforma ses cadres. Sa perte avait été telle, qu'elle fut obligée de les réduire

Yorck voyait de plus haut. Il était de cette société des Amis de la vertu, dont le principe était la haine des Français, et le but, leur entière expulsion de l'Allemagne. Mais Napoléon était encore victorieux, et le Prussien craignait de se compromettre. D'ailleurs, la justice de Macdonald, sa douceur et sa réputation militaire, avaient gagné le coeur de ses troupes. «Jamais, disaient les Prussiens, ils ne s'étaient trouvés si heureux que sous le commandement d'un FrançaisEn effet, unis aux conquérans, et jouissant avec eux des droits de la conquête, ces vaincus s'étaient laissé séduire

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