Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 15 mai 2025


Peu de gens ont apprécié le mérite de ma première action. Elle a été au contraire l'occasion de déchaînements, de blâmes et de calomnies qui ont fait le malheur de ma vie. Aujourd'hui, je suis l'objet de la haine populaire, et il est sage

Tous les jours des religieux venaient par troupe se joindre aux disciples de Paphnuce et se bâtissaient des abris autour de l'ermitage aérien. Plusieurs d'entre eux, pour imiter le saint, se hissèrent sur les décombres du temple; mais blâmés de leurs frères et vaincus par la fatigue, ils renoncèrent bientôt

Pour la première fois de ma vie, je sentis l'espèce de jouissance amère que l'on éprouve en se voyant méconnue, blâmée, et en se disant, d'un mot je pourrais changer ces blâmes en adorations... Il me sembla beau d'accomplir ainsi seule, accusée par tous, une œuvre que tous auraient admirée.

Tu blâmes ensuite l'habitude de l'Agora; moi, je l'approuve. Si c'était un mal, jamais Homèros n'aurait fait un harangueur de Nestôr et des autres sages. De l

Messieurs, lorsqu'on la voyait s'élever pierre par pierre, cette œuvre, on en mesurait la grandeur avec surprise. On admirait, on s'étonnait, on louait, on blâmait. Louanges et blâmes étaient poussés avec une égale véhémence. Les invectives et les apologies s'entremêlaient. Et l'œuvre allait grandissant toujours.

Nous autres, jeunes ilotes politiques, nous vous avons blâmés plus d'une fois, dans l'ombre oisive vous nous laissez, de tout démolir trop vite et sans discernement, nous qui rêvons pourtant une reconstruction générale et complète.

Mais vous viendrez nous rejoindre; moi aussi j'ai pris l'habitude de vous, de vos humeurs aussi changeantes que les nuages, de vos blâmes, de vos approbations. Je pars le 10 avril; Pâques est le 14. Venez passer les fêtes avec nous, cher grand.

Laharpe, doué d'un caractère vif et emporté paya ses ennemis de la même monnaie; il se vengea de plusieurs en évoquant poétiquement l'ombre de Duclos. Une vengeance plus noble, ce furent les succès éclatans qu'il obtint dans les concours académiques de Paris et de la province. Dès 1767 il avait été couronné par l'académie française pour son discours sur les malheurs de la guerre et les avantages de la paix. Sept autres prix lui furent donnés dans les dix années suivantes, par l'académie française, pour des morceaux en prose et en vers. C'est aux concours académiques que sont dus ses éloges de Fénélon, de Racine, de La Fontaine, de Catinat, de Charles V et de Henri IV. Il manqua le prix pour les éloges de La Fontaine et de Henri IV, quoiqu'il fût si sûr du succès qu'il avait fait des lectures de ces deux pièces dans les sociétés de Paris, avant que les juges académiques eussent prononcé. On sait que Necker pour lui faire un présent délicat, avait fait ajouter deux mille francs au prix proposé par l'académie de Marseille, pour le meilleur éloge de La Fontaine, et que ce fut Champfort qui le remporta. Un grand mérite de Laharpe, dans ces éloges, c'est d'avoir su en varier le style et le mettre d'accord avec les sujets; sous ce rapport il a l'avantage sur Thomas, qui a parfaitement retracé l'histoire des éloges, mais qui en a fait presque d'aussi ampoulés que ceux qu'il a blâmés. Une douceur harmonieuse règne dans l'éloge de Fénélon; l'auteur fait sentir la candeur angélique de cette âme pure qui ne connaissait point les sentimens haineux et dont le coeur, valait mieux que celui de tant d'autres prélats du temps, toujours empressés de persécuter au nom de leur religion. Comme cet esprit de tolérance ne s'était pas transmis

Et moi, je serai meilleure pour toi, je serai vraiment ta mère, ajoute Geneviève, qu'un remords vague hantait. Vous fûtes bonne sans cesse, mère chérie... J'ai cru que vous vous accusiez dans l'accent de vos paroles... Vous aviez tort de vous faire des blâmes... Nous allons partir bientôt, n'est-ce pas, mon père?... Ah! pourquoi y sommes-nous venus, dans ce Canada funeste?...

Catherine s'occupait avec tant d'ardeur de l'expédition des «Iles» que les ambassadeurs italiens ne savaient qu'imaginer. Ils la savaient pacifique et prudente, et elle se montrait hardie et belliqueuse. Un agent florentin parlait de ce revirement comme d'un «caprice» de femme . L'ambassadeur, Priuli, qui, pendant son séjour de deux ans et demi en France, avait eu le temps de la bien observer, dit qu'elle est avide de gloire (desiderosissima di gloria). Il ne paraît pas éloigné de croire, comme les Espagnols, que si elle a engagé l'entreprise portugaise contre le Roi catholique, c'est par un motif de vanité. L'expédition du Portugal, ce serait sa réponse aux blâmes et aux insinuations d'autrefois sur la médiocrité de sa dot et de son origine. En se posant en héritière d'une couronne, elle aidait

Mot du Jour

l'observons

D'autres à la Recherche