Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 15 juin 2025


Non. C'est un homme de rien, qui a été domestique du cardinal Bentivoglio, qui s'est poussé par l'intrigue; un parvenu, un homme sans nom, qui ne fera en France qu'un chemin de partisan. Il entassera beaucoup d'écus, dilapidera fort les revenus du roi, se paiera

L'autre fraction du parti croyait que ce Régent, tel quel, pouvait faire les affaires du pape. En tête, se trouvait, je ne dis pas un homme, mais un visage, le beau visage féminin du fils de la belle Soubise, le cardinal de Rohan. Parfait contraste avec le trop mâle Bentivoglio, Rohan, pour avoir la peau douce, embellir ses appas, prenait un bain de lait par jour. Ce parfait imbécile n'était pas sans ambition; Dubois s'en amusait, lui prédisant que tôt ou tard il deviendrait premier ministre. Près de lui se groupaient le président de Mesmes, qui jouait de génie Scapin et Scaramouche au théâtre de Sceaux; Lafiteau, jésuite-évêque (qui scandalisa Dubois même), voleur

Aussi fort raisonnablement les Ultramontains, peu touchés de ses sourires, de ses caresses, des avances serviles qu'il leur faisait pour le chapeau, restaient ou Espagnols, ou Autrichiens, ennemis de Dubois et de la Régence. Au moment même le Régent prit leur homme pour ministre, les gros Jésuites, le Comité des trois qui gouvernaient, leur secrétaire, l'intrigant Tournemine, liaient les deux conspirations, celle de Sceaux avec celle d'Espagne; et le nonce Bentivoglio, dans un pamphlet atroce, condamnait le Régent

En tête du premier, le nonce, le furieux Bentivoglio, ex-capitaine de cavalerie, guerrier sans paix ni trêve, qui crie, jure sang, mort et ruine, et s'illustre

Florence et Ferrare. Le camérier du pape. L'archevêque d'Arles. Les imprimeurs allemands. Goûts littéraires du sire de Corthuy. Université de Sienne. Florence-la-Belle. Divers palais. La liberté et les Médicis. Bologne. Jean de Bentivoglio. Ferrare l'aimable. Les Ferraraises

Le mélodrame nous a montré si souvent les brigands italiens du seizième siècle, et tant de gens en ont parlé sans les connaître, que nous en avons maintenant les idées les plus fausses. On peut dire en général que ces brigands furent l'opposition contre les gouvernements atroces qui, en Italie, succédèrent aux républiques du Moyen Age. Le nouveau tyran fut d'ordinaire le citoyen le plus riche de la défunte république et, pour séduire le bas peuple, il ornait la ville d'églises magnifiques et de beaux tableaux. Tels furent les Polentini de Ravenne, les Manfredi de Faenza, les Riario d'Imola, les Cane de Vérone, les Bentivoglio de Bologne, les Visconti de Milan, et enfin, les moins belliqueux et les plus hypocrites de tous, les Médicis de Florence. Parmi les historiens de ces petits Etats, aucun n'a osé raconter les empoisonnements et assassinats sans nombre ordonnés par la peur qui tourmentait ces petits tyrans; ces graves historiens étaient

Mot du Jour

l'égaierait

D'autres à la Recherche