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Mis à jour: 11 juillet 2025


L'infortuné Bellisle voit tout fondre en ses mains. Le Prussien et le Saxon flottent. L'Empereur a perdu tous ses

L'organe principal du parti, c'étaient les petits-fils de Fouquet, les Bellisle, intrigants si l'on veut, mais qui savaient beaucoup, qui avaient beaucoup vu, esprits vastes, qu'on eût proclamés des génies si la fortune n'avait été contre eux. Fortune? hasard? Non pas. La très-fixe influence de la vieille soutane qui, de Versailles, paralysait la France.

Il arrivait aussi, quelquefois, que les pauvres gens ne pouvant se procurer des bûches convenables pour la veillée de Noël, se les faisaient donner. «Beaucoup de religieux et de paysans, dit Léopold Bellisle, recevaient pour leurs feux des fêtes de Noël un arbre ou une grosse bûche nommée tréfouet». Le tréfeu, le tréfouet que l'on retrouve sous le même nom en Normandie, en Lorraine, en Bourgogne, en Berry, etc., c'est, nous apprend le commentaire du Dictionnaire de Jean de Garlande, la grosse bûche qui devait, suivant la tradition, durer pendant les trois jours de fêtes. De l

Le marquis de Bellisle, son fils aîné, épousa une fille de la maison de Longueville, qui étoit belle et bien faite; elle voulut venger la mort de son mari, tué au Mont-Saint-Michel, et après cela elle se fit religieuse, fut abbesse de Fontevrault, et puis fondatrice du Calvaire. Elle fit cette réformation, et mourut comme une sainte.

Bellisle avait pris poste dans la maison l'on haïssait le plus madame de Prie, la maison de sa mère, si maltraitée par elle, madame Pléneuf. Elle était belle, aimable. Bellisle servit l

Si Dubois, le Régent, les deux malades, eussent été serrés de trop près par l'impatience de leur successeur, M. le Duc, s'il eût frappé un coup, c'est Leblanc qui l'eût fait. Il l'aurait enlevé, tout aussi bien que Villeroi. Et Bellisle, au besoin, aurait fait davantage. Il était des Fouquet, armateurs (ou corsaires) de Nantes, et il était parti de bien moins que de rien, de la ruine et de la disgrâce, de la prison d'

Mais en réalité, il avait la France avec lui. Au moment de l'invasion, en décembre 1740, notre Bellisle, dans la plus splendide ambassade, avec un appareil de prince, éblouissait l'Allemagne, lui prêchait la croisade contre Marie-Thérèse, le démembrement de l'Autriche.

Vers août et septembre, en effet, selon cette prévision, Fleury fut au plus bas, et au plus haut le parti de la guerre, dont la France attendait son émancipation. Bellisle et Villars l'emportèrent. Tout le conseil fut entraîné, et jusqu'au duc d'Orléans, personnage dévot et demi-janséniste, qui avait horreur de la guerre, et qui convint pourtant qu'engagé

Marie-Thérèse qui, avant la bataille, ne savait pas si elle ferait grâce au roi de Prusse, dégonfla, devint souple. Le traité était imminent. Bellisle accourt chez Frédéric, et s'emporte dans son désespoir. Frédéric froidement tire de sa poche les lettres que Fleury a écrites en Autriche, offrant de laisser l

La situation était grande, terrible. Les nôtres, abandonnés, n'ayant ni Prussiens, ni Saxons, sont enfermés dans Prague. Rien n'y vient plus. Dès août la disette commence. Les bandes innombrables de Marie-Thérèse, ses cavaliers barbares, guêpes féroces, voltigent tout autour et coupent toute communication. L'impératrice dit: «Je les tiensFleury prie, et elle s'en moque. Elle veut qu'ils sortent désarmés, prisonniers. Bellisle, très-généreusement, pour réparer les fautes de Broglie, s'enferme dans Prague avec lui. Il répond

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