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Mis à jour: 28 juin 2025
Quelques jours seulement après leur arrivée, Leurs Majestés l'empereur et l'impératrice allèrent visiter le célèbre David, dans son atelier de la Sorbonne; afin de voir le magnifique tableau du Couronnement, qui venait d'être achevé. La suite de Leurs Majestés se composait de M. le maréchal Bessières, d'un aide de camp de l'empereur, M. Lebrun, de plusieurs dames du palais et chambellans. L'empereur et l'impératrice admirèrent long-temps cette belle composition, qui réunissait tous les genres de mérite; et le peintre était tout glorieux d'entendre Sa Majesté nommer l'un après l'autre tous les principaux personnages du tableau, dont la ressemblance était vraiment miraculeuse. «Que c'est grand! disait l'empereur, que c'est beau! quel relief ont tous les objets! quelle vérité! Ce n'est pas une peinture, on marche dans ce tableau.» Et d'abord, ses regards s'étant fixés sur la grande tribune du milieu, l'empereur reconnut Madame Mère, le général Beaumont, M. de Cossé, M. de La Ville, madame de Fontanges et madame Soult: «Je vois plus loin, dit-il, le bon M. Vien.» M. David répondit: «Oui, Sire, j'ai voulu rendre hommage
Tout, pour lui, depuis qu'il entendait la canonnade, se trouvait effacé: les lenteurs, les incertitudes de la marche, la démoralisation des troupes, le désastre de Beaumont, l'agonie dernière de la retraite forcée sur Sedan. Puisqu'on se battait, est-ce que la victoire n'était pas certaine? Il n'avait rien appris ni rien oublié, il gardait son mépris fanfaron de l'ennemi, son ignorance absolue des conditions nouvelles de la guerre, son obstinée certitude qu'un vieux soldat d'Afrique, de Crimée et d'Italie ne pouvait pas être battu. Ce serait vraiment trop drôle, de commencer
Tous ces villages étaient en première ligne, près des avant-postes ennemis; car les impériaux avaient un passage sur la Sambre, près de Beaumont de sorte que nous étions obligés de nous garder partout. On allait fourrager pour la cavalerie sur leurs frontières, car les fourrages n'étaient pas bien abondants dans des pays où la troupe est toujours campée.
La pacification de la Souabe rend disponible le corps d'observation du général Beaumont qui est réuni
Nous venons de voir, vers la fin de 1808, Madame de Custine montrer pour les Martyrs le même zèle que Madame de Beaumont, autrefois, pour le Génie du christianisme; nous allons retrouver, quelques mois plus tard, son intervention non moins affectueuse dans une circonstance bien autrement douloureuse et tragique.
Quelques-unes des personnes de l'ancienne société de madame de Beaumont m'introduisirent dans de nouveaux châteaux.
Quels étaient ces amis? Quelle était cette personne? Ce n'était évidemment pas Madame de Chateaubriand, car il l'aurait nommée. N'était-ce pas plutôt Madame de Beaumont? Ce voyage de Rome était-il déj
Jean a regardé tout cela en restant sur sa chaise, sur laquelle il semble collé. Madame Dorville revient s'asseoir près de madame Beaumont. La conversation languit; ces dames ne font qu'échanger quelques mots, et Jean n'ose pas se mêler
Hubertine répondit que Monseigneur devait être d'une branche cadette, la branche aînée se trouvant depuis longtemps éteinte. C'était même un singulier retour, car pendant des siècles les marquis d'Hautecoeur et le clergé de Beaumont avaient vécu en guerre. Vers 1150, un abbé entreprit la construction de l'église, avec les seules ressources de son ordre; aussi l'argent manqua-t-il bientôt, l'édifice n'était qu'
Je revois sa figure dans notre étroit compartiment de drap bleu. Elle avait un nez épais: celui de Philibert, un peu moins long, un peu plus charnu, des yeux soumis, un beau front, une figure régulière. Elle était mise avec la plus grande simplicité, car elle n'avait jamais d'argent, et taillait elle-même ses robes dans des pièces d'étoffe enroulées sur une planchette de bois, qu'une ou deux fois par an Félicie apportait de Beaumont et lui donnait en disant: «Tiens, voil
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