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Mis à jour: 5 octobre 2025
Godelive la récompensait de son amour, non-seulement par une vive gratitude, mais aussi par un sentiment d'estime et de respect qu'elle reportait même sur Bavon; car, quoiqu'elle vécût
L'heureuse Godelive poussa un cri de joie: elle embrassa sa mère et madame Damhout; elle prit Bavon par les mains et se mit
Comme si, par une inspiration secrète, elle sentait que l'instruction seule ne suffit point, elle déposait avec la plus touchante et la plus tendre sollicitude, dans les cœurs de Bavon et de Godelive, les germes des plus pures vertus et le plus profond sentiment du devoir.
Après les avoir embrassés de nouveau, Bavon sortit de la ruelle pour se diriger en toute hâte vers la maison de M. Raemdonck, où l'attendait un nouveau présent. Quel serait ce présent? Un livre, peut-être autre chose! Bavon sonna chez M. Raemdonck. La servante le conduisit dans le bureau. Un homme déj
Bavon paraissait consolé de l'absence de Godelive, et, s'il en parlait encore, c'était avec calme et avec raison. Le père Damhout était
Je vous félicite, mon garçon, dit-il en lui prenant la main. On vous a fait un honneur que vous méritez bien. J'étais présent et je me suis senti profondément ému. Cela vous portera bonheur, d'aimer ainsi vos parents. Bavon prononça le nom de M. Raemdonck.
Une aumône! s'écria Bavon comme terrifié. Plus qu'une aumône, monsieur, nous sauver de la honte. Je ne vous comprends pas, dit-il avec méfiance. Où sont donc vos fils, vos filles, votre mari? Ils gagnaient beaucoup d'argent.
Oui, cher père, répondit l'enfant. Cela veut dire que vous travaillez pour moi, et que je dois toujours vous aimer, vous et ma mère. Jusque dans nos vieux jours, Bavon. Oui, père, jusque dans vos vieux jours, aussi longtemps que je vivrai. Et le feras-tu, mon enfant? Le petit garçon regarda son père d'un air étonné, mais ne répondit pas, comme s'il ne concevait pas son doute.
Ces fâcheuses nouvelles de Godelive parurent avoir délivré Bavon d'une préoccupation secrète, et, sous ce rapport, elles lui avaient réellement fait du bien. Comme si cet événement avait fait disparaître tout ce qu'il y avait encore en lui d'enfantin, son esprit devint plus sérieux, et il prit plus qu'auparavant la physionomie d'une personne posée, qui ne s'occupe que de choses utiles.
Ceux de mécanicien, de charpentier, de menuisier et cent autres, où, avec de l'instruction et de la bonne conduite, on peut faire son chemin. Vois-tu bien, Christine, que tu as résolu de ne pas laisser aller notre Bavon
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