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Dans ses moments de douleur, Lauriane était entourée de tendres consolations; mais nulles n'étaient aussi ingénieuses et aussi merveilleusement assidues que celles de Mario. Son coeur aimant et son esprit délicat trouvaient des paroles d'encouragement dont la naïveté suave forçait Lauriane

La faible santé de ma mère la retenait habituellement chez elle. Chaque soir, il s'y réunissait quelques personnes, au nombre desquelles les plus assidues étaient les prélats Caraffa, Albani, Consalvi, et enfin l'abbé Maury, alors le coryphée du parti royaliste. Toutes ces personnes étaient spirituelles et distinguées. Je m'accoutumais

Moi, le petit Jésus, je t'aime, bien que tu sois sans charmes, et je te supplie de toujours marcher pour m'amuser. Mais, pour faire tourner la toupie, il faut des coups de fouet! Eh bien, laisse tes sœurs te rendre ce service, et sois reconnaissante envers celles qui seront les plus assidues

Ici se termine le journal de Jean Valreg. Des occupations assidues, la peinture dont il était chargé, les études musicales qu'il continuait avec sa femme, les promenades nécessaires

Les journaux français et étrangers, les écrits périodiques, redevinrent l'objet de ses lectures assidues: il les étudiait, les commentait, et pénétrait avec sagacité ce que l'esclavage de la presse les forçait de dissimuler ou de taire.

Et sais-tu? dit la Mayeux, sais-tu chez qui l'on me proposait d'entrer pour faire cet indigne métier? Chez une dame de Frémont ou Brémont, je ne me souviens plus bien, femme excessivement religieuse, mais dont la fille, jeune dame mariée, que je devais surtout épier, me dit la supérieure, recevait les visites trop assidues d'un manufacturier.

Le charme que les dames piémontaises trouvent au théâtre les y rend très assidues, mais cela n'est plus d'obligation comme avant la Révolution. Quand une femme manquait deux jours

Tous les membres de la famille impériale avaient un goût marqué pour la musique, et particulièrement pour la musique italienne; mais ils n'étaient point musiciens, et la plupart chantaient presque aussi faux que Sa Majesté elle-même. Il faut cependant en excepter la princesse Pauline, qui avait fini par profiter un peu des leçons assidues que lui donnait Blangini, et chantait assez agréablement. Sous le rapport de la justesse de la voix, le prince Eugène se montrait bien digne d'être le fils adoptif de l'empereur. Il était cependant musicien, et chantait avec passion, mais non pas de manière

«Il m'avait tendu la main, je la serrai en silence, je pris le billet qu'il m'offrait et... tiens, Julien, le voici.... Ne pleure pas, mon enfant, embrasse-moi; je suis fier de toi, de cet argent gagné par ton talent, par tes veilles assidues. Sois béni, mon fils, des joies que tu me donnes

Misères, vanités humaines! superbes puérilités, orgueilleuses niaiseries! qu'a donc produit cet homme étonnant depuis soixante années de veilles assidues et de travaux sans relâche? Que sont venus faire dans son cabinet les représentants de toutes les puissances de la terre? Quels importants services ont donc reçu de lui tous les souverains qui ont possédé et perdu la couronne de France depuis un demi-siècle? Pourquoi le doucereux regard de cet homme a-t-il toujours inspiré une inconcevable terreur? Pourquoi tous les obstacles se sont-ils aplanis sous ses pas? Quelles révolutions a-t-il opérées ou paralysées? quelles guerres sanglantes, quelles calamités publiques, quelles scandaleuses exactions a-t-il empêchées? Il était donc bien nécessaire, ce voluptueux hypocrite, pour que tous nos rois, depuis l'orgueilleux conquérant jusqu'au dévot borné, nous aient imposé le scandale et la honte de son élévation? Napoléon, dans son mépris, le qualifiait par une métaphore soldatesque et d'un cynisme énergique; et Charles X, dans ses jours d'orthodoxie, disait bien en parlant de lui: C'est pourtant un prêtre marié! Les a-t-il arrêtés dans leurs chutes terribles, ces maîtres tour