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«Arrêtez, mon oncle! dit Ahmet

S'il vous plaît, monsieur, c'est votre chien, et le prix du morceau est de 4sh 6». L'avoué le paya et le boucher s'en allait triomphant, lorsque l'avoué le rappela: «Arrêtez un moment, mon brave homme, le prix d'une consultation d'avocat est de 6sh 8d; payez-moi la différenceLe boucher, bien marri, dut s'exécuter.

CATHERINE. Quoi! dans le milieu de la rue! PETRUCHIO. Comment, est-ce que tu rougis de moi? CATHERINE. Non, monsieur, Dieu m'en préserve! Mais je suis honteuse de donner un baiser ici. PETRUCHIO. En ce cas, reprenons le chemin de notre maison. CATHERINE. Non, oh! non, je vais vous donner un baiser: je vous en prie, mon amour, arrêtez. PETRUCHIO. Cela n'est-il pas bien doux?

Est-ce que vous croyez que vous allez me faire du bien, si vous arrêtez le travail chez moi? C'est comme si vous me tiriez un coup de fusil dans le dos,

Arrêtez, s'écria le Nain en retenant la bride de son cheval, je ne suis pas un flatteur. Croyez-vous que je regarde toutes ces qualités comme des avantages? Chacune d'elles n'a-t-elle pas

Arrêtez! arrêtez! s'écria de la Marck; c'est une plaisanterie, ce n'est pas autre chose. Pensez-vous que je voudrais faire le moindre mal

PREMIER CITOYEN. O lamentable spectacle! SECOND CITOYEN. O noble César! TROISIÈME CITOYEN. O jour de malheur! QUATRIÈME CITOYEN. O traîtres! scélérats! PREMIER CITOYEN. O sanglant, sanglant spectacle! SECOND CITOYEN. Nous voulons être vengés. Vengeance! Courons, cherchons. Brûlons. Du feu! Tuons, massacrons. Ne laissons pas vivre un des traîtres. ANTOINE. Arrêtez, concitoyens.

QUELQUES PRISONNIERS. Que dit-il?... Quoi?... Qu'est-ce donc?... Vois, vois quelle pâleur! Ils saisissent Konrad. Calme-toi! KONRAD. Arrêtez! arrêtez!... arrêtez! je recueillerai mes pensées, j'achèverai mon chant, j'achèverai!... LWOWICZ. Assez! assez! D'AUTRES. Assez!

«Arrêtez, au nom du Ciel! monsieur Porthos, s'écria-t-elle, arrêtez et causons. Causer avec vous me porte malheur, dit Porthos. Mais, dites-moi, que demandez-vous? Rien, car cela revient au même que si je vous demandais quelque chose

Que veut-il? arrêtez le sacrilége, arrêtez le possédé! criait-on de toutes parts. C'est vous, répondit Zénon, c'est vous seuls qui êtes possédés du diable. Dieu me permettra de purifier son temple.