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Mis à jour: 26 juin 2025


Baudin des Ardennes, dont le courage égalait les autres vertus, ne croyait pas, comme Jean-Bon-Saint-André, que la majorité de Paris voulût la mort du roi, mais il décrit bien la situation le peuple égaré par la commune mettait les membres de la convention: «La liberté des législateurs, s'écrie Baudin, existe-t-elle quand la hache du 2 septembre peut encore se lever sur eux et quand chacun d'eux peut craindre pour sa tête s'il ne prononce que celle de Louis peut être abattueA-t-on droit d'exiger du commun des hommes, je dis même des hommes instruits et vertueux, ce courage qui affronte habituellement et les poignards et les outrages journaliers de la calomnie?

Avant la naissance du Rhin, les Pays-Bas étaient une mer. Un beau jour, les Ardennes, battues en brèche par les lacs emprisonnés dans leur giron, cédèrent sous leur force irrésistible, et s'ouvrirent devant les eaux, projetant leurs parois émiettées

Ce sombre pays des Ardennes ne se rattache pas naturellement

Admirable, Sire! sauf la sentence qui adjuge cette pauvre dame au Sanglier des Ardennes. Par la sainte Vierge, s'il était un peu plus galant, Tristan l'Ermite, le grand prévôt, lui conviendrait mieux.

Je fus rejoins par quatre ou cinq de mes camarades qui prirent mon sac; ils étaient aussi fort malades. Nous rencontrâmes des villageois, de charrettes en charrettes, nous gagnâmes pendant cinq jours assez de chemin dans les Ardennes pour atteindre Attert, Flamizoul et Bellevue. Le sixième jour, je me trouvai seul. Ma petite vérole blanchissait et s'aplatissait.

C'est si beau, voyez-vous. Il y a un bouquet de chênes, surtout; de très vieux chênes, avec de grandes pierres, qui font carrefour. Et on y est tout seul, tout seul... tout seul d'hommes, je veux dire. Comment, tout seul d'hommes, s'informa Cérizolles languissamment. Il y a des lions, peut-être, comme dans la forêt des Ardennes. Guiche secoua la tête.

Les noires Ardennes ouvrent, pour te recevoir et te cacher, leurs grands bras de feuillage; la bonne forêt, pour te coucher, amasse au fond de ses grottes sa mousse la plus soyeuse; elle incline ses arceaux sur ton front afin de te garantir de la pluie et du soleil; elle te plaint avec les larmes de ses sources et les soupirs de ses faons et de ses daims qui brament; elle fait de ses rochers de complaisants pupitres pour tes épîtres amoureuses; elle te prête les épines de ses buissons pour les suspendre, et ordonne

Je laisse beaucoup d'autres folies aussi gigantesques, et n'en citerai plus qu'une qui l'est plus que toutes les autres. Crispérion s'était endormi dans la forêt des Ardennes; il y resta soixante ans. Il lui était venu sur la tête un bois dans lequel on voyait courir des chevreuils, des cerfs, des sangliers, des ours et des lions. Il se réveilla enfin lorsqu'un roi y chassait avec tous ses barons.

Quel voyage vaudrait ce que mes yeux t'apprennent, Quand mes regards joyeux font jaillir dans les tiens Les soirs de Galata, les forêts des Ardennes, Les lotus des fleuves indiens? Hélas! quand ton élan, quand ton départ m'oppresse, Quand je ne peux t'avoir dans l'espace tu cours, Je songe

Une circonstance heureuse ayant amené et fixé dans l'abbaye de Lavaldieu, située dans les Ardennes, non loin de Givet, un musicien allemand de mérite, dit-on, nommé Guillaume Hauser, le petit Méhul parvint

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