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Eh bien, le prince!... dit-elle en riant, le prince et le docteur, avec leurs cuisiniers et leurs marmitons, font, en ce moment, voile vers Livourne ou vers Ajaccio; que sais-je? Cela dépend du vent qu'il fait, et je ne m'en soucie guère. Est-ce que j'aime le prince, moi? est-ce que je lui appartiens? est-ce qu'il a le moindre droit sur moi?

Trouves-tu les Vaudelnay de famille bourgeoise? Non; mais cet être mystérieux et jaloux auquel tu appartiens, ces devoirs qui t'enlèvent ta liberté? Je te croyais vingt fois mariée, mère de famille, et tu m'as aidé

A cette question, le visage de Guyonne passa du pourpre au cramoisi et des larmes brûlantes étincelèrent au coin de sa paupière. C'est d'autant plus étrange, poursuivit le gentilhomme, que tu appartiens

Oui, je lui appartiens, qu'il fasse de moi ce qu'il voudra... Je mourrais de ne plus peindre, je préfère peindre et en mourir... Et puis, ma volonté n'y est pour rien. C'est ainsi, rien n'existe en dehors, que le monde crèveElle se redressa, dans une nouvelle poussée de colère.

Centurion la regarda en face, et, d'une voix basse, ardente: Madame, dit-il, vous avez le droit de douter de ma fidélité, puisque j'ai trahi pour vous. Je vous jure cependant que je suis sincère en vous disant que je vous appartiens corps et âme et que vous pouvez disposer de moi comme vous l'entendrez. A défaut de cette sincérité, mon intérêt vous répond de moi.

Michel se redressa, écouta un moment; quelque chose en lui parlait, et disait: «Quand même! Je leur appartiens pour toujours! Il le faut! Je les aimeLa nuit augmentait de douceur, et une paix inconnue au jour était bue par les champs déserts...

Puis-je vous expliquer mon affaire, monsieur l'employe? Oui, certes, oui, repondit Berthellemot. Je vous appartiens des pieds a la tete. Seulement, vous savez, pas de details inutiles; ne nous noyons pas dans le bavardage! le bavardage est ma bete noire. En deux mots, je me charge d'expliquer le cas le plus difficile, et c'est ce qui fait ma force... Prenez votre temps! recueillez-vous.

PORTIA. Prince, l'un des trois renferme mon portrait: si vous le choisissez, je vous appartiens avec lui. LE PRINCE DE MAROC. Puisse quelque dieu diriger mon jugement et ma main! Voyons un peu. Je veux encore jeter les yeux sur les inscriptions. Que dit le coffre de plomb? Qui me choisira doit donner et risquer tout ce qu'il a.

Monsieur, dit Maurevert en se tournant vers Pardaillan, je vous appartiens; pensez-vous que nous devons nous battre, ou bien m'accordez-vous un nouveau crédit de quelques jour? Parlez, dit Pardaillan.

Mon fils, lui dit-il, je ne t'ai jamais caché ta destinée. Tu appartiens aux peuples du Pérou, comme moi j'appartiens