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Mis à jour: 13 juillet 2025


Près de Pont-Audemer, une croix de carrefour est surnommée la Croix-des-Magnants, parce que des hommes qui exerçaient la profession de chaudronniers ambulants furent engloutis

L'arrivée de l'Alpiniste ne les réveilla pas, et lui-même s'écroulait sur un divan, envahi par ce découragement de glace, quand des accords vigoureux et joyeux éclatèrent dans le vestibule, trois «musicos», harpe, flûte, violon, de ces ambulants aux mines piteuses, aux longues redingotes battant les jambes, qui courent les hôtelleries suisses, venaient d'installer leurs instruments.

Tout le service actuel de la poste repose sur le mouvement des bureaux ambulants qui constituent les grandes artères de la circulation postale; mais, comme il arrive souvent des meilleures choses, on avait été amené

Vers midi, les voyageurs rencontrèrent tout un clan de Kalmouks nomades, de ceux qui sont divisés en oulousses, comprenant plusieurs khotonnes. Ces khotonnes sont de véritables villages ambulants, composés d'un certain nombre de kibitkas ou tentes, qui vont se planter ça et l

Pauvres chanteurs ambulants, rapsodes du pauvre, chaque jour voit disparaître une de vos illustrations. Ce n'est pas l'âge, ce n'est pas la misère, ce n'est pas l'indifférence populaire qui cause votre perte, c'est l'avidité barbare de ceux qui exploitent les oeuvres de la pensée. Il y a un au

Un mot sur leur auteur. Les savants disent: Ces deux poëmes furent longtemps des poésies populaires conservées seulement dans la mémoire des conteurs ou chanteurs ambulants de la Grèce. Denys de Thrace raconte ainsi comment elles furent recueillies: «À une certaine époque, dit-il, les poëmes d'Homère furent entièrement anéantis, soit par le feu, soit par un tremblement de terre, soit par une inondation; et, tous ces livres ayant été perdus et dispersés de toutes parts, on n'en conservait que des fragments décousus; l'ensemble des poëmes allait tomber entièrement dans l'oubli. Alors Pisistrate, général des Athéniens, désirant s'acquérir de la gloire et faire revivre les poëmes d'Homère, prit la résolution suivante. Il fit publier par toute la Grèce que ceux qui possédaient des vers d'Homère recevraient une récompense déterminée par chaque vers qu'ils apporteraient. Tous ceux qui se trouvaient en avoir se hâtèrent de les apporter et reçurent sans contestation la récompense promise. Pisistrate ne renvoyait même pas ceux qui lui remettaient des vers qu'il avait déj

[Note 1: Si vous écoutez attentivement les joueurs de cornemuse qui font le métier de ménétriers dans nos campagnes du centre de la France, vous verrez qu'ils ne savent pas moins de deux on trois cents compositions du même genre et du même caractère, mais qui ne sont jamais empruntées les unes aux autres; et vous vous assurerez qu'en moins de trois ans, ce répertoire immense est entièrement renouvelé. J'ai eu dernièrement avec un de ces ménestrels ambulants la conversation suivante: «Vous avez appris un peu de musique? Certainement j'ai appris

Le père de Rossini était un pauvre joueur de cor de troisième ordre, de ces symphonistes ambulants qui, pour vivre, courent les foires de Sinigaglia, de Fermo, de Forli et autres petites villes de la Romagne ou voisines de la Romagne. Ils vont faire partie des petits orchestres impromptus qu'on réunit pour l'opéra de la foire. Sa mère, qui a été une beauté, était une seconda donna passable. Ils allaient de ville en ville et de troupe en troupe, le mari jouant dans l'orchestre, la femme chantant sur la scène; pauvres par conséquent: et Rossini leur fils, couvert de gloire, avec un nom qui retentit dans toute l'Europe, fidèle

Au moyen âge et jusque vers le milieu de ce siècle, les marchands ambulants promenaient du bois dans les rues de Paris; au XVe siècle, voici comment ils annonçaient leur marchandise: L'autre crie qui veut le ten, L'autre crie la busche bone, A deux oboles le vous done. Soit en detour ou en embuche, On va criant semblablement, A ieun ou yure, busche, busche, Pour se chauffer certainement.

L'orphelin Joseph, dont le père a été victime des Hassidim et a disparu, et dont la mère est morte dans la misère, est recueilli par le frère de son père, celui qui avait occasionné sa perte. Maltraité par une tante méchante et poussé par un irrésistible penchant pour la vie vagabonde, il s'enfuit. Ramassé d'abord par une bande de gueux mendiants, puis recueilli par un Baal-Schem, thaumaturge charlatan, il parcourt la plus grande partie de la Russie juive. Dans une suite de tableaux pris sur le vif, Smolensky détaille les mœurs et les exploits de tous les bohêmes du ghetto, depuis les mendiants jusqu'aux officiants ambulants, leur manque de moralité, leur malice et leur impudence. Poussé par le désir de s'instruire et probablement aussi par celui de trouver un abri, Joseph devient enfin élève d'une célèbre Yeschiba. C'est presque le salut pour le jeune vagabond; il est nourri, il couche sur les bancs de l'école, et il est même protégé contre le service militaire. Mais bientôt, mal vu

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