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Mis à jour: 14 juillet 2025
O sanglots de Chopin, ô brisements du coeur, Pathétiques sommets saignant au crépuscule, Cris humains des oiseaux traqués par les chasseurs Dans les roseaux altiers de la froide Vistule! Soupirs! Gémissements! Paysages du pôle Qu'entr'ouvre le boulet d'un soleil rouge et rond, Noir cachet de la foudre au coeur chenu des saules, Tristesse de la plaine et des cris du héron!
appela William Hewes qui était son musicien pour jouer sur le virginal et chanter. « Joue, lui dit-il, mon chant, Will Hewes, et je chanterai moi-même.» Ainsi fit-il très gaîment, non comme le cygne plaintif qui encore dédaigneux pleure sa mort, mais comme une douce alouette qui levant ses ailes et jetant ses yeux vers Dieu, monte vers les nues cristallines et atteint de sa langue intarissable les sommets des cieux altiers.
Peu après la pluie cessa. Pour la première fois nous pouvions jeter un regard autour de nous. De grands pics sombres, drapés de nuages roses, se dressaient altiers de tous côtés. Sur leurs pointes extrêmes, l
Adieu! vieille forêt! Noyés dans la pénombre Et drapés fièrement dans leur feuillage sombre, Tes sapins résineux et tes cèdres altiers Se balancent encor sur le bord des sentiers; Mais loin de leur ombrage et de leur vertes ailes, Dans le même tombeau, les deux amants fidèles Dont les afflictions et les maux sont finis, Reposent, côte
Quel charme infini émane du bel adolescent qu'ils servent!» Elle se sentait attirée vers cet inconnu, et plus soeur de ces hommes ardents et redoutables que de ces Romains altiers, de ces railleurs et de ces pédantismes secs.
Dans le chaud bassin du Musée, Les verts papyrus, s'effilant, Suspendent leur fraîche fusée A l'azur sourd et pantelant: O douceur de rêver, d'attendre Dans ce cloître aux loisirs altiers Où la vie est inerte et tendre Comme un repos sous les dattiers! Catane où la lune d'albâtre Fait bondir la chèvre angora, Compagne indocile du pâtre Sur la montagne des cédrats!
Viomade, l'heureux Viomade admiroit en silence le jeune et beau prince; on voyoit réunis en lui les traits superbes de Mérovée aux graces d'Aboflède; c'étoit bien le front auguste du roi, ses yeux bleus, altiers et brillans; mais les belles paupières de la reine en voiloient l'éclat, en modéroient l'ardeur; c'est son teint délicat et frais, sa bouche, son délicieux sourire. Childéric a la taille majestueuse du roi, sa marche noble; mais ses mouvemens gracieux et doux rappellent encore Aboflède; il a atteint sa dix-huitième année; il est
Adieu! vieille forêt! Noyés dans la pénombre Et drapés fièrement dans leur feuillage sombre Tes sapins résineux et tes cèdres altiers Se balancent encore sur le bord des sentiers; Mais sous leur frais ombrage et sous leur vaste dôme, On entend murmurer un étrange idiome! On voit jouer, hélas! les fils d'un étranger!... Seulement, sur les rocs que le flot vient ronger, Et sur les bords déserts du sonore Atlantique On voit, de place en place, un paysan rustique. C'est un pauvre Acadien dont le plaintif aïeul Ne voulut pas avoir, pour sépulcre ou linceul, La terre de l'exil si lourde et si fatale. Et qui revint mourir
Cela se comprendrait des hautes vertus enviant les hautes infortunes, de Caton enviant Régulus, de Thraséas enviant Brutus, de Rabbe enviant Barbès. Mais point. Ce sont les vils qui se mêlent d'être jaloux des altiers; ce qui est importuné par la fière protestation du vaincu, c'est la nullité plate et vaine. Gustave Planche jalouse Louis Blanc, Baculard jalouse Milton, et Jocrisse jalouse Eschyle.
Salut, vieille forêt! Noyés dans la pénombre Et drapés fièrement dans leur feuillage sombre Tes sapins résineux et tes cèdres altiers Qui se bercent au vent sur le bord des sentiers Jetant,
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