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Le médecin reprit donc d'une voix triste et émue qui semblait partir du profond de son coeur: Je le vois... vous vous défiez toujours de moi... ce que je dis n'est que mensonge, fourberie, hypocrisie, haine, n'est-ce pas?... Vous haïr... moi... et pourquoi? mon Dieu! que m'avez-vous fait? ou plutôt... vous accepterez peut-être cette raison comme plus déterminante pour un homme de ma sorte, ajouta M. Baleinier avec amertume, ou plutôt quel intérêt ai-je

Capitaine, vous accepterez bien un petit verre... Voyez-vous, je ne me gêne pas, je vous dis tout ce que je pense, parce que je connais la largeur de votre esprit. Eh bien! Je vous assure que votre préfet a tort de vouloir saigner encore la ville de ces quarante-deux mille francs... Songez donc au total de nos sacrifices, depuis le commencement. D'abord,

Votre Honneur, dit-il, est mille fois trop bonne, mais, je le lui répète, il faut que nous sortions sur-le-champ. Mais puisque c'est impossible! Ah! vous croyez? Je ne veux pas accepter le chèque. En vérité! Mais vous accepterez des bank notes. A cette proposition, sir Cooman frissonna. Des bank-notes? fit-il. Oui. Vous payeriez en bank-notes? Sans doute.

«Quand vous accepterez de nouveaux rôles, ne vous permettez pas d'y rien changer

Paul Fréart, sieur de Chantelou, l'ami intime du Poussin, avait deux frères: l'aîné, Jean Fréart, sieur de Chantelou, conseiller du roi et commissaire principal en Champagne, Alsace et Lorraine; et le plus jeune, Roland Fréart de Chantelou, abbé de Chambray, conseiller et aumônier ordinaire du roi. Sans être aussi intimement lié avec ces derniers qu'avec Paul de Chantelou, le Poussin entretenait avec eux de très-bonnes relations. Il commença en mai 1648, pour M. de Chantelou l'aîné, un petit tableau du Baptême de saint Jean, qu'il exécuta sur une petite planche de cyprès . Il le lui envoya en septembre suivant, en s'excusant sur «la débilité de ses yeux et le peu de fermeté de sa main, qui ne lui ont pas permis de faire mieux un ouvrage d'une si petite dimension. Vous accepterez, s'il vous plaît, ce tableau, dit-il, d'aussi bon coeur que s'il était mieux. J'ai proportionné le prix

Maintenant voici ce que je vous propose; vous accepterez, je le crois, car j'ai agi d'après cette certitude. Une personne qui possède beaucoup de propriétés en Algérie m'a cédé pour vous (il n'y a plus du moins qu'

Oui, mon père: et après-demain je pars pour l'Afrique... Vous verrez si je suis ingrat!... Alors, peut-être, lorsque je serai réhabilité, vous accepterez mes remerciements. Vous ne me devez rien; j'ai dit que mon nom ne serait pas déshonoré davantage; il ne le sera pas, dit simplement M. de Saint-Remy en prenant sa canne qu'il avait déposée sur le bureau; et il se dirigea vers la porte.

La voix lui manqua. Il leva les yeux sur la jeune fille, et son regard acheva la phrase commencée. À son tour, Nadia le regarda; il vit sur son visage quelque chose de tremblant et d'indécis, de tendre et de pénible, qui lui rendit soudain le courage. Vous accepterez? lui dit-il

«Je ne puis vous remercier comme vous devriez être remercié par les vers que mon jeune ami, M. Sterling, m'a envoyés de votre part; et il me messiérait de prétendre échanger des vers avec celui qui, pendant cinquante ans, a été le souverain incontesté de la littérature européenne. Vous accepterez donc mes très-sincères remerciemens en prose, et en prose écrite

C'est mon désir, Sire. Vous accepterez bien, en récompense du temps que vous avez passé près de M. le cardinal, une gratification de quinze cents ou deux mille pistoles.