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Mis à jour: 14 mai 2025
Les Serbes sont extrêmement sociaux. Ils aiment la bonne chère, la bonne compagnie «t les bous vins. Il y a, dans la région des Balkans, beaucoup de tziganes, et, tandis que les Bulgares refusent de les enrôler comme soldats, les Serbes les acceptent volontiers, dans l'unique but, je suppose, de leur faire jouer de la musique après dîner. Il n'y a pas un de ces gars basanés qui ne soit maître sur quelque instrument. Ici, par exemple, il y en avait deux qui jouaient du violon de façon
Les hommages que les Polonaises ont inspirés ont toujours été d'autant plus fervents, qu'elles ne visent pas aux hommages; elles les acceptent comme des pis-aller, des préludes, des passe-temps insignifiants. Ce qu'elles veulent, c'est l'attachement; ce qu'elles espèrent, c'est le dévouement; ce qu'elles exigent, c'est l'honneur, le regret et l'amour de la patrie. Toutes, elles ont une poétique compréhension d'un idéal qu'elles font miroiter dans leurs entretiens, comme une image qui passerait incessamment dans une glace et qu'elles donnent pour tâche de saisir. Méprisant le fade et trop facile plaisir de plaire seulement, elles voudraient avoir celui d'admirer ceux qui les aiment; de voir deviné et réalisé par eux un rêve d'héroïsme et de gloire qui ferait de chacun de leurs frères, de leurs amoureux, de leurs amis, de leurs fils, un nouveau héros de sa patrie, un nouveau nom retentissant dans tous les cœurs qui palpitent aux premiers accents de la Mazoure liée
3. Modification essentielle des partis en Hongrie: le parti Apponyi et la fraction Ugron fusionnent avec le parti de l'indépendance, dont le chef est François Kossuth, et acceptent son programme dirigé contre le compromis de 1867 et réclamant une union strictement personnelle (c'est-
Le roi rougit. L'Angély a refusé, dit-il. Raison de plus, Sire, pour maintenir la libéralité. M. l'Angély a refusé pour que les gens qui demandent ou qui acceptent le croyent véritablement fou, et ne sollicitent pas sa place près de Votre Majesté. Mais le roi n'a que deux vrais amis près de lui, son fou et moi; qu'il ne soit pas ingrat auprès de l'un, après avoir si largement récompensé l'autre.
Sire, rien n'est impossible, rien ne sera épargné pour nous assurer l'honneur et l'indépendance, ces biens plus chers que la vie; tout sera tenté, tout sera exécuté pour repousser un joug ignominieux. Nous le disons aux nations: Puissent leurs chefs nous entendre! s'ils acceptent vos offres de paix, le peuple Français attendra de votre administration, forte, libérale, paternelle, des motifs de se consoler des sacrifices que lui a coûtés la paix; mais si l'on ne lui laisse que le choix entre la guerre et la honte, la nation toute entière se lève pour la guerre; elle est prête
Ceux qui acceptent avec amour les idées de 89 et qui reculent ensuite devant les conséquences pratiques de la fameuse déclaration des Droits nous semblent des esprits honnêtes, mais faibles. Si vous admettez la Révolution, il faut l'admettre pleine, entière, logique, entourée de toutes les conditions nécessaires qui devaient l'établir et la perpétuer, malgré les attaques de ses ennemis. Il n'y a rien de plus mortel aux nations que les demi-mouvements vers une rédemption sociale, qui agitent tout sans rien détruire ni rien fonder. S'est-on bien demandé ce qui serait advenu si par la force et l'épouvante la Convention n'eût point arraché aux rebelles l'espérance même de la victoire? Le sol de la France eût été livré
Et, en elle-même, la fine mouche ajouta: Ca va comme sur des roulettes: mes tantes me parlent de malle, c'est donc qu'elles acceptent ma... fugue comme définitive. Tu as averti tes maîtresses, en t'en allant? fit observer Mme Samozane. Ah! j'oubliais justement de vous le dire, tantes; je suis une fille pleine d'
Dans la barbarie où nous sommes encore, nous ne connaissons guère que deux états pour l'animal, la liberté absolue ou l'esclavage absolu; mais il est des formes très-variées de demi-servage que les animaux d'eux-mêmes acceptent très-volontiers.
Cette dernière strophe, si courte et si bizarre, nous paraît la plus belle et la plus orientale des improvisations de Kourroglou. Elle a la concision mystérieuse du style biblique. L'âme coupable s'y dévoile en voulant cacher sa honte et son effroi sous des métaphores. L'orgueil blessé, la colère, la vengeance toujours vivantes dans le coeur du meurtrier, entonnent le chant du triomphe; les méchantes passions acceptent la mort de l'homme juste et généreux comme un bouquet de roses. Puis aussitôt le désespoir du maudit étouffe l'hymne impie. Oh! que tes montagnes se couvrent de brouillards! la nuit descend sur les yeux de Caïn. Kourroglou, que ton bras soit desséché! Et le bon refrain si bête et si sombre: «J'ai rencontré un marchand!» en dit plus qu'il n'est gros. Nous connaissons certains refrains romantiques des ballades modernes, qui cherchent le terrible et le naïf,
Une foule de francs-tireurs, de flâneurs, de soldats, accourent autour de notre aérostat. Le marin Jossec leur adresse quelques paroles et leur demande le concours de leurs bras pour tenir les cordes. Tous acceptent de grand coeur. Je monte dans la nacelle pour faire une ascension préliminaire, mais l'air est agité, le ballon se penche avec violence, il ne faut pas songer
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