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Mis à jour: 6 mai 2025


Abélard s'est donc fait une idée saine du libre arbitre. «C'estdit-il, «la délibération ou la dijudication de l'esprit par laquelle il se propose de faire ou de ne pas faire une chose; cette dijudication est librePuisqu'elle est libre, c'est-

II, p. 1069, et Theol. Chr., t. Saint Bernard dit que le Père est sagesse et le Fils puissance. Abélard avait dit: «Chacune des personnes, étant de même substance, est de même puissance; le Père autant que le Saint-Esprit. La Trinité entière est sagesse, le Père autant que le Fils. La Trinité entière est charité. Dieu ne peut jamais être sans sagesse .» I, p. 698, t.

Mais il ajoute qu'il n'y a plus qu'une troisième opinion; c'est celle qui entend que certaines formes soient des essences, et certaines autres non. «Ainsi le veulent Abélard et les siens, qui portent la clarté dans l'art dialectique, parce qu'au lieu de l'embrouiller, ils le scrutent avec le soin le plus scrupuleux . Pour eux, les seules formes qui soient des essences sont certaines qualités qui sont dans les conditions suivantes. 1° Il faut qu'elles soient dans le sujet, en telle sorte que le sujet ne suffise pas pour qu'elles existent. Par exemple, le sujet suffit

Parmi les maximes condamnées, les principales sont les suivantes: I. Dans la Trinité, le Père a la toute-puissance, le Fils la sagesse, et le Saint-Esprit la charité; chacune de ces propriétés désigne chacune des personnes, de sorte qu'en logique rigoureuse la propriété qui distingue une des personnes semble manquer aux deux autres. Abélard ne dit pas cela, mais il avance au moins que le Père a la puissance parfaite, le Fils quelque puissance, le Saint-Esprit nulle puissance. Le Fils est de la substance du Père, puisqu'il en est engendré; le Saint-Esprit n'est pas de la substance du Père, puisqu'il ne fait que procéder du Père et du Fils. Une personne est

Puis, par un mouvement dont la véhémence éloquente tranche avec sa manière un peu didactique, Abélard l'engage

Abélard suit cette tendance, il est sur cette pente; qu'il continue de la suivre, qu'il descende encore, et il sera Socin, il sera Locke, Rousseau, Kant, Strauss; mais il parle et il écrit au XIIe siècle. DE LA MORALE D'AB

Op., pars II, ep. Après ces belles paroles, Bérenger recherche si en effet Abélard n'est pas chrétien. Il donne alors le texte de la confession de foi adressée

Ce raisonnement a évidemment touché Abélard, et sans rapporter les cinq passages que Fessler donne en preuve, nous avons assez longuement analysé la théodicée de notre auteur pour qu'on s'en rappelle

En citant, Abélard répète opuscula pour Athanase, et met librum au lieu de libros. S. Hieronym. Op., t. IV, op.

Abélard rencontre en passant quelque chose qui intéresse la création des espèces. C'est

Mot du Jour

etorent

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