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Le produit des postes a été de 20,973,000 fr. en 1816, et de 30,545,620 fr. en 1829. Produit de ces quatre grandes contributions pour 1816 426,842,854 fr. Produit des mêmes contributions pour 1829 582,278,315 Différence en plus 155,435,461 fr.

Ces réformes étaient devenues bien nécessaires, car depuis longtemps les abbés et les moines avaient étrangement faussé la règle de Saint-Benoît. Pendant les invasions des Normands particulièrement, la discipline s'était perdue au milieu du désordre général, les abbayes étaient devenues des forteresses plus remplies d'hommes d'armes que de religieux; les abbés eux-mêmes commandaient des troupes laïques, et les moines chassés de leurs monastères étaient obligés souvent de changer le froc contre la cotte de buffle . Toutefois, si après les réformes de Cluny et de Cîteaux les abbés ne se mêlèrent plus dans les querelles armées des seigneurs laïques, ils ne cessèrent de s'occuper d'intérêts temporels, d'être appelés par les souverains non-seulement pour réformer des monastères, mais aussi comme conseillers, comme ministres, comme ambassadeurs. Dès avant les grandes associations clunisiennes et cisterciennes, on avait senti le besoin de réunir en faisceau certaines abbayes importantes. Vers 842, l'abbé de Saint Germain des Prés,

Ainsi s'avançaient vers leur plus complète décadence le latin et les dialectes gaulois absorbés, dans un amalgame croissant, par la nouvelle langue, appelée le roman, triomphant même du franc-teusch des derniers conquérants. C'est effectivement en roman que, dans l'année 842, fut écrit et prononcé le serment de l'empereur-roi Louis-le-Germanique .

Maintenant passons au moyen-âge, et ouvrons Erchempert, moine du mont Cassin, qui florissait vers l'an 842: «J'ai connu, dit le vénérable cénobite, messire Landolphe, évêque de Capoue, homme d'une singulière prudence, lequel avait l'habitude de dire: «Toutes les fois que je rencontre un moine, il m'arrive quelque chose de malheureux dans la journée.

Platon, Lois, VIII, p. 842. Plutarque, Lycurgue, Agis. Id., ibid., II, 3, 7. Eschine, contre Timarque. Diogène Laërce, I, 55. Aristote, Polit., VII, 2. Mitakchara, trad. Orianne, p. 50. Cette règle disparut peu

VI, p. 816. Ibid. p. 817 et suiv. Ibid., p. 834. Ibid., p. 835. Ibid., p. 836. Ibid., p. 837. Cours, tome VI, leçon lx, p. 842. Cours, vol. III, leçon xli, pp. 529-531. Ibid., p. 531. Ibid., pp. 533-534. Cours, vol. III, leçon xliii, p. 683, et leçon xliv, p. 700 Ibid. leçon xliii, p. 646 et suiv. Cours., tome III, leçon xliii, pp. 648-649. Ibid., p. 652. lbid., p. 656.

Malgré tant de désastres, Constantinople fut encore longtemps la Ville Chrétienne la plus opulente, la plus peuplée, la plus recommandable par les Arts. Sa situation seule par laquelle elle domine sur deux Mers, la rendait nécessairement commerçante. La peste de 842, toute destructive qu'elle avait été, ne fut qu'un fléau passager.

Le prix courant de toutes ces charges réunies était de 459,630,842 livres; cependant le gouvernement ne les avait vendues que 187,276,978 livres, et les titulaires n'étaient censés toucher que 8,546,847 livres pour leurs gages. Or, on laisse

168 page 293 Le secours que Lothaire avait demandé aux païens... Voy. aussi les Annales de Saint-Bertin, an 841, les Annales de Fulde, an 842, la Chronique d'Hermann. Contract., ap. Scr. Fr. VII, 232, etc. 169 page 293 Charles-le-Chauve qui ressemblait