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M. Tommaseo publiera, sous la direction de M. Mignet, les Relations des ambassadeurs vénitiens sur les affaires de France, pendant le XVIe siècle. M. Claude fait imprimer, sous la direction et la surveillance de M. Guérard, le Cartulaire de l'abbaye de Saint-Bertin. Quand cet ouvrage aura été mis au jour, le même travail aura lieu pour le Cartulaire de l'église de Notre-Dame de Chartres.

Alors arrivèrent, deux par deux, avec une gravité qui faisait contraste au milieu du pétulant cortège ecclésiastique de Charles de Bourbon, les quarante-huit ambassadeurs de Maximilien d'Autriche, ayant en tête révérend père en Dieu, Jehan, abbé de Saint-Bertin, chancelier de la Toison d'or, et Jacques de Goy, sieur Dauby, haut bailli de Gand. Il se fit dans l'assemblée un grand silence accompagné de rires étouffés pour écouter tous les noms saugrenus et toutes les qualifications bourgeoises que chacun de ces personnages transmettait imperturbablement

Le royaume de Neustrie était réellement une république théocratique. Les évêques nourrissaient, soutenaient ce roi qu'ils avaient fait; ils lui permettaient de lever des soldats parmi leurs hommes; ils gouvernaient les choses de la guerre comme celles de la paix. «Charles, dit l'annaliste de Saint-Bertin, avait annoncé qu'il irait au secours de Louis avec une armée telle qu'il avait pu la rassembler, levée en grande partie par les évêques.» «Le roi, dit l'historien de l'

168 page 293 Le secours que Lothaire avait demandé aux païens... Voy. aussi les Annales de Saint-Bertin, an 841, les Annales de Fulde, an 842, la Chronique d'Hermann. Contract., ap. Scr. Fr. VII, 232, etc. 169 page 293 Charles-le-Chauve qui ressemblait

L'église du Saint-Sépulcre et le monastère ruiné de Saint-Bertin sont également dignes d'une visite, mais le temps nous manque, et nous devrons nous borner

Quelques textes des annales de Saint-Bertin suffiront pour faire connaître l'audace des Northmen, l'impuissance et l'humiliation du roi et des évêques, leurs vaines tentatives pour combattre ces barbares, ou pour les opposer les uns aux autres.

Un autre saint, qu'elle n'a pas canonisé, est notre Robert, roi de France. «Robert, dit l'auteur de la Chronique de Saint-Bertin, était très pieux, sage et lettré, passablement philosophe et excellent musicien. Il composa la prose du Saint-Esprit: Adsit nobis gratia; les rythmes Judea et Hierusalem, Concede nobis quæsumus, et Cornelius centurio, qu'il offrit, mis en musique et notés, sur l'autel de Saint-Pierre