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Mis à jour: 22 juin 2025
Aussi je ne crains rien, ni le fer, ni la flamme, Non, rien ne peut troubler mon ineffable paix; Et le feu de l'amour qui consume mon âme Ne s'éteindra jamais... 21 janvier 1896. Au Vénérable Théophane Vénard. Air: Les adieux du Martyr.
Mon cher petit Pierre, ma chère petite Jeanne, ma chère Lucie, vous tous que j'aime du plus profond de mon coeur, de toute l'ardeur de mon âme, croyez bien, si ces lignes vous parviennent, que j'aurai fait tout ce qui est humainement possible pour résister. Mercredi 9 septembre 1896.
2 février 1896. Le courrier venant de Cayenne est arrivé; il n'y a pas de lettres pour moi. 12 février 1896. Je viens seulement de recevoir mon courrier. Toujours rien, et il faut que je lutte, que je résiste toujours. Quelques extraits de lettres de ma femme reçues
[159: Mémoires, t. III. Il s'est ouvert, au mois de mars 1896, dans la capitale de l'Autriche, sous la protection de l'Empereur et sous la présidence du comte d'Abensperg-Traun, une exposition rétrospective du congrès de Vienne dont j'ai fait l'étude dans le Monde du 23 mars. J'en détache quelques lignes qui se rattachent plus directement
J'ai passé les dernières semaines de 1896 et les premiers jours de 1897,
15 juin 1896. Conçues dans la tristesse et la pauvreté, élevées parmi des angoisses quotidiennes dans une bohème indigente de comédiens errants, les deux filles de Marceline, Ondine et Inès, furent des malades extrêmement distinguées. Ondine était spirituelle, avec des gaietés nerveuses, mais froide et sans abandon. Sa mère s'étonnait et souffrait de ses refus de se confier... Cette souffrance se peut mesurer
Ah! que le poids de toutes ces tortures sans nom retombe sur ceux qui ont poursuivi ainsi un innocent, toute sa famille, le jour où la lumière sera faite, où le coupable sera démasqué. Samedi 5 septembre 1896.
Lettre VIe. 17 septembre 1896. Ma sœur bien-aimée, je ne suis pas embarrassée pour vous répondre... Comment pouvez-vous me demander s'il vous est possible d'aimer le bon Dieu comme je l'aime?... Mes désirs du martyre ne sont rien; je ne leur dois pas la confiance illimitée que je sens en mon cœur. A vrai dire, on peut les appeler ces richesses spirituelles qui rendent injuste , lorsqu'on s'y repose avec complaisance, et que l'on croit qu'ils sont quelque chose de grand... Ces désirs sont une consolation que Jésus accorde parfois aux âmes faibles comme la mienne et ces âmes sont nombreuses. Mais, lorsqu'il ne donne pas cette consolation, c'est une grâce de privilège; rappelez-vous ces paroles d'un saint religieux: «Les martyrs ont souffert avec joie et le Roi des Martyrs a souffert avec tristesse!» Oui, Jésus a dit: «Mon Père, éloignez de moi ce calice.» Comment pouvez-vous penser maintenant que mes désirs sont la marque de mon amour? Ah! je sens bien que ce n'est pas cela du tout qui plaît au bon Dieu dans ma petite âme. Ce qui lui plaît, c'est de me voir aimer ma petitesse et ma pauvreté, c'est l'espérance aveugle que j'ai en sa miséricorde... Voil
B. Carra de Vaux, page 170, Paris, Collection de la Société asiatique, 1896. Le texte arabe de ce livre a été édité par M. J. de Goeje, Bibliotheca geographorum arabicorum, t.
[Note 75: Le gisement quaternaire de la Micoque, XIV, 24 août 1896; La station quaternaire de la Micoque, XIII, Saint-
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