Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 9 juin 2025
Ces places sont dans la meilleure situation, soit pour les vivres et les munitions de guerre, soit pour les fortifications. Magdebourg, le 12 juillet 1813. A S. M. l'impératrice-reine et régente. L'empereur est arrivé aujourd'hui ici
L'année 1813, qui devait être la cinquième et la dernière du règne de Jérôme, s'annonça
M. Clausel fit partie, en 1813, de l'opposition qui se manifesta au Corps législatif contre la politique impériale; il accueillit avec joie la Restauration et fut, en 1814, l'un des commissaires chargés de préparer la rédaction de la Charte. Nommé conseiller
«Dresde, le 29 août 1813, cinq heures et demie du matin. «Monsieur le maréchal duc de Raguse, j'ai reçu votre rapport d'hier onze heures du soir, et je l'ai mis sous les yeux de l'Empereur. Sa Majesté ordonne que vous suiviez vivement l'ennemi sur Dippoldiswald et dans toutes les directions qu'il aurait prises.
Dans la rue Popincourt débouche la rue des Amandiers, où se trouve l'abattoir Ménilmontant; l'avenue de cet abattoir se nomme Parmentier, parce qu'elle a été ouverte sur l'emplacement de la maison où est mort, en 1813, cet illustre agronome.
Paris, le novembre 1813. Monsieur, le baron de Saint-Aignan est arrivé hier ici
Que dire? que faire? Ah! si nous pouvions avoir un mot de S. M. impériale. Nous savons du moins qu'elle se porte bien. Ma conduite est simple. C'est de partager la destinée du roi. Cassel, ce 25 octobre 1813.
«Bautzen, le 6 septembre 1813, neuf heures du matin. «Monsieur le duc de Raguse, l'Empereur ordonne que vous portiez, aujourd'hui 6, votre quartier général
La guerre éclata donc en 1813 avec l'Autriche. Maintenant les questions se décideront par les armes. De nouveaux revers nous accablent. Une armée de cinq cent mille hommes et de soixante-dix mille chevaux, créée comme pur enchantement, est encore détruite en peu de mois. L'Allemagne est évacuée, et
Il ne me restait plus, pour compléter mes récits, que d'effectuer ceux de la campagne de 1813. Je le fis avec détail. Après avoir fait ressortir ce qu'il y eut de beau et d'éclatant pour le pays et le souverain dans cette espèce de résurrection de l'armée française et dans les succès qui marquèrent la première partie de la campagne, je lui fis comprendre combien la seconde partie fut loin de la première, et Napoléon différent de ce qu'il avait été autrefois. Je le lui montrai alors tel que M. de Ségur le peint en 1812, c'est-
Mot du Jour
D'autres à la Recherche