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Mis à jour: 9 juin 2025


Si j'étais assuré que mes lecteurs voudront bien se rappeler que cet ouvrage-ci est une simple biographie, et que ce genre permet de descendre aux détails les plus simples, je raconterais un trait de paresse de Rossini. Dans une journée très froide de l'hiver de 1813, il se trouvait campé dans une mauvaise chambre d'auberge

»Je suis, avec indignation, votre, etc28 juillet 1813.

»N'allez pas croire, pourtant, que ce spectacle d'une vieillesse paisible après une jeunesse un peu égarée, dérange mes principes. Je ne me fais pas plus forte qu'une autre, mon cher ami, et je sens surtout ma vertu bien solide, parce qu'elle est appuyée sur le bonheur et sur l'amour Je réponds de moi, parce que je t'aime et que je te suis chère. Douze années d'expérience m'ont assez prouvé que mon coeur t'était uniquement destiné, mais, ta sévérité dût-elle s'en alarmer, je n'aurais pas été si sûre si tu n'avais pas été mon mariQuelques années plus tard, vers la fin du mois de janvier 1813, madame d'Houdetot mourait

Guillaume prince d'Orange-Nassau, plus tard roi des Pays-Bas, en 1772, était le fils du stathouder Guillaume V. Il commandait les troupes hollandaises en 1794 et 1795. Devant l'invasion française son père abdiqua et se réfugia en Angleterre, et le prince Guillaume passa au service de l'Autriche. En 1803, il obtint l'abbaye de Fulde qui venait d'être sécularisée moyennant l'abandon de tous ses droits sur la Hollande. Mais, ayant pris en 1806 le parti de la Prusse, il fut dépouillé de cette principauté ainsi que de ses possessions patrimoniales. Il reprit alors du service en Autriche. Il rentra en Hollande en 1813, et prit le titre de prince souverain des Provinces-Unies. Le congrès de Vienne lui reconnut le titre de roi des Pays-Bas, et réunit la Belgique

Mercredi, 1er décembre 1813. «Aujourd'hui j'ai répondu

«Mes peuples ne peuvent pas craindre que la politique de leur empereur trahisse jamais la gloire nationale. De mon côté, j'ai la confiance que les Français seront constamment dignes d'eux et de moiParis, 23 décembre 1813. Lettre de l'empereur au président du corps-législatif.

P. S. Vous trouverez ci-joint la note du départ des colonnes italiennes. Saint-Cloud, le 18 novembre 1813. Mon fils,

«Bautzen, le 6 septembre 1813, dix heures du matin.

«Mayence, le 2 novembre 1813. «Mon cousin, je reçois votre lettre; vous n'avez envoyé, ni

Cassel, le 28 janvier 1813. Le roi n'a pas tardé

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