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Mis à jour: 17 juillet 2025


De sa première femme, Beaumarchais n'eut pas d'enfants; il la perdit d'ailleurs moins d'un an après l'avoir épousée, le 30 septembre 1757. Le 11 avril 1768, il se remarie avec une seconde veuve, dame Geneviève Watebled, dont le mari, mort en 1767, Antoine Levesque, était de son vivant garde magasin général des menus plaisirs du roi.

Toutes les éditions, depuis 1767 jusques et compris les éditions de Kehl et quelques unes de celles qui les ont suivies, portent: poussa. C'est un erratum manuscrit de feu Decrois qui a proposé de mettre pousse.

Au mois de janvier 1767, le chevalier de Boufflus, faisant une tournée d'inspection avec le prince de Beauvau, gouverneur du Languedoc, s'arrête avec lui

Idée pour une nouvelle humoristique, d'un garçon n'ayant pour tout titre de noblesse, que le nom de son grand-père dans l'état des malades, qui ont été traités des maladies vénériennes, sous les yeux et par la méthode de M. de Keyser, depuis le 30 mai 1765 jusqu'au 1er septembre 1866, état inséré dans le MERCURE de France, du mois d'avril 1767.

Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe, était la fille du prince Victor de Savoie-Carignan. Née en 1749, elle épousa en 1767 le prince de Lamballe, fils du duc de Penthièvre. Demeurée veuve l'année suivante, elle passa une partie de sa vie auprès de la reine, qui la nomma surintendante de sa maison. Arrêtée après le 10 Août, elle fut massacrée le 2 septembre.

Un point dans ces vastes mers, la petite île de Taïti, a été, dès les premiers pas des voyageurs, l'objet d'une attention, on pourrait dire d'une faveur particulière. Queiros la découvrit le premier en 1605, la décrivit avec complaisance, et lui donna le nom de Sagittaria, probablement parce que les flèches étaient les seules armes de ses sauvages habitants. Cent soixante ans s'écoulèrent sans qu'aucun voyageur connu visitât cette île ou prît la peine d'en parler. En 1767, Wallis y toucha et s'y arrêta; d'abord attaqué, puis bien accueilli par les insulaires, après plus d'un mois de séjour, l'île lui parut une si bonne station navale et un si agréable lieu de ravitaillement que, sans autorisation ni conséquence officielle, il en prit possession pour l'Angleterre et lui donna, en partant, le nom d'île du roi George III. Bougainville y aborda l'année suivante, et les Français, aussi bien accueillis que l'avaient été les Anglais, s'y plurent encore davantage, répondirent joyeusement aux avances qu'ils y reçurent, et en témoignèrent leur reconnaissance en appelant Taïti la nouvelle Cythère. Cook, dans le cours de ses voyages, aborda trois fois

Vers 1767, un homme, comme on en voit souvent dans les grandes capitales, sans principes et sans mœurs, mais non pas sans esprit, le comte Jean du Barry, rencontra dans une de ces maisons qu'on appellerait aujourd'hui du demi-monde une des plus jolies personnes qu'il eût encore vues de sa vie. Frappé de sa beauté et de ses grâces, il lui donna aussitôt le nom de l'Ange, et vit tout le parti qu'il en pourrait tirer dans l'intérêt de sa fortune et de son ambition. Dès ce moment il rêva et parvint

Rousseau quitte Wootton en mai 1767. Pendant trois années encore, inquiet, effaré, malade, poussant la manie du soupçon jusqu'

Laharpe, doué d'un caractère vif et emporté paya ses ennemis de la même monnaie; il se vengea de plusieurs en évoquant poétiquement l'ombre de Duclos. Une vengeance plus noble, ce furent les succès éclatans qu'il obtint dans les concours académiques de Paris et de la province. Dès 1767 il avait été couronné par l'académie française pour son discours sur les malheurs de la guerre et les avantages de la paix. Sept autres prix lui furent donnés dans les dix années suivantes, par l'académie française, pour des morceaux en prose et en vers. C'est aux concours académiques que sont dus ses éloges de Fénélon, de Racine, de La Fontaine, de Catinat, de Charles V et de Henri IV. Il manqua le prix pour les éloges de La Fontaine et de Henri IV, quoiqu'il fût si sûr du succès qu'il avait fait des lectures de ces deux pièces dans les sociétés de Paris, avant que les juges académiques eussent prononcé. On sait que Necker pour lui faire un présent délicat, avait fait ajouter deux mille francs au prix proposé par l'académie de Marseille, pour le meilleur éloge de La Fontaine, et que ce fut Champfort qui le remporta. Un grand mérite de Laharpe, dans ces éloges, c'est d'avoir su en varier le style et le mettre d'accord avec les sujets; sous ce rapport il a l'avantage sur Thomas, qui a parfaitement retracé l'histoire des éloges, mais qui en a fait presque d'aussi ampoulés que ceux qu'il a blâmés. Une douceur harmonieuse règne dans l'éloge de Fénélon; l'auteur fait sentir la candeur angélique de cette âme pure qui ne connaissait point les sentimens haineux et dont le coeur, valait mieux que celui de tant d'autres prélats du temps, toujours empressés de persécuter au nom de leur religion. Comme cet esprit de tolérance ne s'était pas transmis

Variante: Ne parlez donc plus. Supprimé dans le texte des archives. Il s'agit de la Saxe. Le prince Antoine, frère du roi Frédéric-Auguste, avait épousé: Marie-Charlotte-Antoinette, fille de l'empereur Léopold morte en 1782; en 1787, Marie-Thérése-Josèphe, autre fille de l'empereur Léopold, née en 1767. Supprimé dans le texte des archives. Variante: dans la position présente.

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betlem

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