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Mis à jour: 18 mai 2025


L'orage l'énervait, si lourd, engourdissant comme l'ombre de certains arbres des tropiques. Sa tête flottait, grisée d'une odeur exquise exhalée par les fleurs amères des tulipiers ou cette brassée de cheveux blonds éparse sur le lit

Canonnade compacte et fusillade éparse, Chevaux éventrés, coups de sabre, prisonniers Mis

Ensuite, passer la revue silencieuse dans les salons, pour vérifier si tout est en ordre; la visite aux menus objets aimés, souvenirs, portraits, dont l’entretien prend une grande importance. Puis déjeuner, souvent seule, dans une grande salle, entourée de négresses ou d’esclaves circassiennes; avoir froid aux doigts en touchant l’argenterie éparse sur la table, avoir surtout froid

Vous empochez les deniers. C'est fort bien vu. Allez donc la chercher, car voici votre clientèle qui s'impatiente. Saïzuma, drapée dans ses vêtements bariolés, son masque rouge sur la figure, sa splendide chevelure éparse sur ses épaules, entra de son pas majestueux et spectral. Allons, bohémienne! dit tout

On avait fait le ménage de la barricade, désencombré la salle basse, pris la cuisine pour ambulance, achevé le pansement des blessés, recueilli la poudre éparse

Ses yeux étaient brillants, sa figure creuse, sa chevelure dénouée et éparse; la lune lui donnait un aspect singulier. Sisa! s'écria surpris D. Filipo et se retournant vers Capitan Basilio, tandis que la folle s'éloignait. N'était-elle pas chez un médecin? demanda-t-il, on l'a déj

De la graisse d'humus et de labour, fondue, Coulait dans le vent d'or d'automne et lentement Toute la plaine enflait sous ce débordement De vie éparse aux quatre coins de l'étendue. C'étaient,

Il a vu la terreur de Némée Qui sur le ciel sanglant ouvre sa gueule armée, Et la crinière éparse et les sinistres crocs; Car l'ombre grandissante avec le crépuscule Fait, sous l'horrible peau qui flotte autour d'Hercule, Mêlant l'homme

Teinté de sombre argent, un cèdre contourné A le tumulte obscur d'un nuage enchaîné Qui roule sur l'éther sa foudre ténébreuse... Et l'ombre vient, luisante, épandue, onctueuse. Les montagnes sur l'eau pèsent légèrement; Tout semble délicat, plein de détachement, On ne sait quelle éparse et vague quiétude Médite. Un clair fanal, douce sollicitude, Egoutte dans les flots son rubis scintillant.

Marsyas chanta. Ce fut d'abord un chant léger Comme la brise éparse aux feuilles d'un verger, Comme l'eau sur le sable et l'onde sous les herbes. Puis on eût dit l'ondée et la pluie et l'averse, Puis on eût dit le vent, puis on eût dit la mer. Puis il se tut, et sa flûte reprit plus clair Et nous entendions vibrer

Mot du Jour

agenouillons

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