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Mis à jour: 12 mai 2025


Marsyas était habile au métier Roseaux! De vous tailler: A chaque bout de la tige, il coupait juste Au bon endroit Ce qu'il fallait pour qu'elle devînt, Syrinx ou flûte; Il y perçait des trous pour y poser les doigts Et un autre plus grand Par l'on souffle Avec la bouche L'humble haleine qui, tout

MARSYAS PARLE: Tant pis! Si j'ai vaincu le Dieu. Il l'a voulu! Salut, terre longtemps Marsyas a vécu, Et vous, bois paternels, et vous, ô jeunes eaux, Près de qui je cueillais la tige du roseau mon haleine tremble, pleure, s'enfle ou court, Forte ou paisible, aiguë ou rauque, tour

Mais ceux qui l'avaient entendu Raillaient disant: «Ce Marsyas est un peu fou Son chant rit puis pleure tout

Le vieil Agès vit ce sourire et fut vexé. «Puisqu'il sourit de moi, il rirait sûrement De Marsyas», se dit Agès, et doucement Au Dieu qui l'écoutait il parla du satyre... Comme le goût du miel fait oublier la cire On oublierait que le Chanteur avait souri D'Agès, quand il rirait du pauvre Marsyas. Il vint. On s'écartait sur son chemin.

Tous écoutaient chanter Marsyas le satyre; Et tous, la bouche ouverte, ils attendaient le rire Du Dieu et regardaient le visage divin Qui semblait

O Marsyas! c'est l

Marsyas chanta. Ce fut d'abord un chant léger Comme la brise éparse aux feuilles d'un verger, Comme l'eau sur le sable et l'onde sous les herbes. Puis on eût dit l'ondée et la pluie et l'averse, Puis on eût dit le vent, puis on eût dit la mer. Puis il se tut, et sa flûte reprit plus clair Et nous entendions vibrer

Puis il invoque, aussitôt après, le bon Apollon et le Parnasse au double sommet, afin que ce dieu de l'Olympe le tire, comme il tira Marsyas, de la gaîne de ses membres. Cette fois, c'est Béatrice qui vole devant lui; elle fixait la lumière des soleils, et lui regardait cette lumière en elle.

Marsyas! Je l'ai connu Marsyas Dont la flûte hardie a confondu la lyre; Je l'ai vu nu, Lié par les pieds et les mains Au tronc du pin; Je puis vous dire Ce qui advint Du Dieu jaloux et du Satyre, Car je l'ai vu, Sanglant et nu, Lié au pin.

Reste calme, reste calme, ô coeur passionné, reste calme! Oh Mélancolie, ferme ton aile de corbeau, O Dryade qui sanglotes, ne quitte point le creux de ta colline pour venir apporter une réponse aussi découragée. O Marsyas ailé, cesse de te plaindre. Apollon n'aime point entendre des chants ainsi troublés par la souffrance. C'était un rêve: la clairière est déserte.

Mot du Jour

cuthbert

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