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Mis à jour: 20 juin 2025


Lina Wildenslag alla annoncer son départ pour la France avec grande joie

Vous l'avez envoyée dans une fabrique, pour qu'elle vous rapportât de l'argent; vous avez exposé cette tendre fleur au rude contact de gens grossiers... Monsieur, monsieur, ce n'est pas vrai! s'écria madame Wildenslag en frémissant.

Figurez-vous, je viens dans la ruelle demeurent les Wildenslag, pas pour eux, mais pour un ami, car je ne voulais pas avoir affaire

Madame Damhout reçut cette nouvelle avec tristesse. La pensée que Godelive suivrait ses parents et qu'elle ne la verrait plus de longtemps l'attristait! mais, comme elle ne pouvait envisager le départ de Wildenslag que comme une chose très-naturelle et comme un moyen d'échapper

Lorsque le ménage Wildenslag, homme, femme et enfants, tenant chacun un paquet

Madame Wildenslag écoutait en ouvrant de grands yeux, elle paraissait ne pas bien comprendre ce que sa voisine lui disait. Supposez, Lina, reprit celle-ci, que Godelive devienne fille de boutique et plus tard même maîtresse, qu'elle gagne beaucoup d'argent et qu'elle soit habillée comme une demoiselle, est-ce que cela vous ferait de la peine?

Et les Wildenslag étaient toujours bien? Bien? Oui, beaucoup trop bien. Il vaudrait mieux pour eux souffrir un peu de misère. Il n'y a pas de plus grands vauriens au monde que ces Wildenslag. Si vous pouviez les voir maintenant, Adrien! Il ne font que boire et bambocher pendant la moitié de la semaine, et en outre les amis les évitent, car ils sont d'un caractère très-brutal et ne font que chercher noise

Tiens, tiens! dit-elle, le poing te démange. Allons, cher Wildenslag, calme-toi un peu... As-tu envie de retourner encore une fois

Ne me refusez pas, sinon vous ne connaîtrez certainement pas notre histoire. Je me laissai persuader; je passai cette soirée entre Bavon et Godelive. En face de moi étaient assis le vieux Damhout, Christine, sa femme, et la mère Wildenslag;

Elle fondit en larmes et laissa tomber sa tête sur sa poitrine. Le jeune homme avait écouté ce récit avec une émotion croissante; l'expression de son visage était un singulier mélange de compassion et de fierté secrète, de douleur et de joie. À la fin cependant, la pitié pour le triste sort des Wildenslag l'emporta. Depuis un instant, de silencieuses larmes coulaient sur ses joues.

Mot du Jour

linea

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