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Mis à jour: 28 mai 2025
Biron, Westerman, Berthier, Menou, dénoncés par Ronsin et ses agents, furent mandés
Qui pouvait méconnaître leurs intentions contre-révolutionnaires, en voyant les mêmes hommes qui poursuivaient avec tant d'acharnement les anciens défenseurs de la liberté montrer tant d'indulgence pour les conspirateurs, tant de prédilection et de faiblesse pour les traîtres? Quels étaient leurs héros? un Tunck, misérable escroc, dont le nom même ne peut pas être prononcé sans pudeur; un homme décrié parmi les escrocs eux-mêmes; couvert des blessures que lui a faites, non le fer des ennemis, mais le glaive de la justice; digne compagnon d'armes et de table du procureur Bourdon; Westerman, digne messager de Dumouriez, qui, destitué, a été, au mépris des lois, reprendre le commandement d'une brigade en Vendée; qui dernièrement, contre les ordres du comité de salut public a osé distribuer aux habitants de la Vendée trente mille fusils, pour ressusciter la rébellion. Venu ensuite
Les premiers jours de mars avaient vu éclater la guerre. En moins de deux mois l'insurrection prit des proportions gigantesques, menaçant d'envahir l'ouest entier de la France. Des cruautés inouïes se commettaient au nom des deux partis, et plus le temps s'écoulait, plus la guerre avançait, plus la haine et la sauvagerie prenaient des deux côtés de force et d'ardeur. Pour répondre aux atrocités accomplies par le général républicain Westerman, auquel Bonchamp ne donnait que l'épithète de «tigre», quatre cents soldats bleus prisonniers furent égorgés
Cathelineau laissa un nom respecté: aucun chef plus que lui n'a représenté le caractère vendéen. On le surnommait le «saint d'Anjou». Le 5 juillet, Westerman fut défait
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