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Mis à jour: 19 juillet 2025
Quelques mots suffiront pour nous mettre au courant de ce qui concerne ce dernier: le gros Joseph Sedley était retourné dans les Indes peu après sa fuite de Bruxelles; soit que le temps de son congé fût fini, soit qu'il craignit de rencontrer quelques-uns des témoins de son héroïsme dans les journées de Waterloo. Toujours est-il qu'il repartit pour le Bengale peu après l'installation de Napoléon
Fabrice fut profondément touché et ensuite affligé des plans que la duchesse avait faits pour lui; son espoir avait toujours été que, son affaire de Waterloo arrangée, il finirait par être militaire. Une chose frappa la duchesse et augmenta encore l'opinion romanesque qu'elle s'était formée de son neveu; il refusa absolument de mener la vie de café dans une des grandes villes d'Italie.
[Note 241: C'est un fait: voyez les gazettes de Waterloo. Je me souviens de l'avoir fait remarquer, dans le tems,
»Ainsi donc vous avez publié Marguerite d'Anjou, et un conte assyrien, après avoir refusé le Waterloo de W * W * et le Cri Public ; je ne sais pas ce qu'il faut le plus admirer en vous, d'avoir accepté les uns ou d'avoir refusé les autres. Je crois que la prose, après tout, est ce qui fait le plus d'honneur; car, certes, si l'on pouvait prévoir mais je ne veux pas achever cette phrase. Quant
Eh bien, mon brave, il faut prendre la revanche de Waterloo sur tous les habits rouges!... conseilla le major. A voir!... contesta prudemment le Silène obèse; et, d'un revers de main, il torcha la sueur, dans les gros plis de son cou.
«Je suis le fils, Monsieur, d'un soldat de Waterloo. Napoléon! mon père l'a connu quand il était roi de l'île d'Elbe. Vive éternellement Napoléon! Je suis fier parce que mon père l'a connu! Il était sergent de sa garde-mobile et il l'accompagnait partout. L'Empereur l'aimait bien, et souvent il lui causait; il causait de même
«Quand le général Frossard voulut raconter la campagne de Waterloo et faire rétrograder l'armée française, le Prince Impérial se fâcha: « Non!... Jamais!... s'écria-t-il avec un mouvement de colère. Et, malgré les instances de son précepteur, il disposa ses batteries et écrasa d'un coup l'armée anglaise, l'armée prussienne, Blücher et Wellington.»
Des héros au crânes étroits de crétins; des meubles aux formes droites sur des pieds maigres, des intérieurs de famille avec des petits enfants, travestis en vétérans de famille impériale; mais au milieu de cela, des nippes remuantes et des défroques plus mémoratives, que tous les imprimés. Oui des chapeaux, qui ont le roux de la poudre des batailles historiques: le chapeau d'Austerlitz, le chapeau de Waterloo, et
Venise, 15 février 1817. «J'ai reçu vos deux lettres, mais non pas le paquet que vous m'annoncez. Puisque les dépouilles de Waterloo sont arrivées, je vous en fais présent, si vous voulez bien les accepter: faites-moi, je vous prie, ce plaisir.
Les deux généraux avaient attentivement étudié la plaine de Mont-Saint-Jean, dite aujourd'hui plaine de Waterloo. Dès l'année précédente, Wellington, avec une sagacité prévoyante, l'avait examinée comme un en-cas de grande bataille. Sur ce terrain et pour ce duel, le 18 juin, Wellington avait le bon côté, Napoléon le mauvais. L'armée anglaise était en haut, l'armée française en bas.
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