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Mis à jour: 18 juillet 2025
«Non, John, dit-elle, non... Godfrey n'est pas notre fils!... Notre pauvre petit Wat est mort... mort peu de temps après ton départ!... Mort!» s'écria John, qui, cependant, ne cessait de regarder Godfrey. Dolly allait lui dire quel malheur l'avait frappée quinze années auparavant, lorsqu'une détonation retentit du côté où le mani et ses compagnons s'étaient mis
En effet, la situation était très simple: si Mrs. Branican mourait sans enfants, sa cousine Jane, unique parente qui eût qualité pour hériter d'elle, bénéficierait de son héritage. Or, depuis la mort du petit Wat, Len Burker avait certainement vu s'accroître les droits de sa femme
Il le fit, sans hésiter presque brutalement. «Mistress Branican, dit-il, vous vous trompez!... Je ne veux pas, je ne dois pas vous laisser croire ce qui n'est point!... Cette ressemblance, ce n'est qu'un hasard... Votre petit Wat est mort... oui! mort!... Il a péri dans la catastrophe, et Godfrey n'est pas votre fils... Wat est mort?... s'écria Mrs. Branican.
Avec autant de plaisir que quand nous avons tué des fouines ou des chats sauvages, s'écria l'autre en se glissant sous la charrette. Maintenant nous veillons sur la chasse gardée du Seigneur, frère Wat, et vraiment ces gens-l
Tu as raison, Dolly, dit Mrs. Burker. C'est une bonne idée que tu as de faire profiter ton petit Wat de cette promenade... Il fait beau temps... la baie est calme... Ce sera son premier voyage en mer,
Oui, répondit Jane, le petit Wat... l
Il me l'a offert de si bonne grâce, il m'a dit des choses si tendres, que les larmes me sont venues aux yeux. Comme je l'ai embrassé, mon Godfrey, et comme ses baisers répondaient aux miens... Pourquoi la pensée me revient-elle que mon petit Wat aurait son âge... qu'il serait bon comme lui...
Il va sans dire que la mulâtresse avait suivi son maître dans sa nouvelle demeure, où elle serait ce qu'elle avait été partout et toujours, une créature sur le dévouement de laquelle il pouvait absolument compter. La nourrice du petit Wat avait été congédiée, bien qu'elle eût offert de se consacrer au service de Mrs. Branican. Quant
Cependant la santé du petit Wat ne se fût pas accommodée d'une réclusion absolue dans l'enclos de Prospect-House. Avec la seconde semaine qui suivit le départ, le temps était devenu très beau, et la brise tempérait les chaleurs naissantes. Aussi Mrs. Branican s'imposa-t-elle de faire quelques excursions au dehors. Elle emmenait la nourrice, qui portait le bébé. On allait
Mais il y avait Wat, le bébé, et Dolly pouvait-elle l'abandonner aux soins d'une nourrice, loin des caresses maternelles?... Non!... Pouvait-elle l'emmener en mer, l'exposer aux éventualités d'un voyage si dangereux pour de petits êtres?... Pas davantage!... Elle serait restée près de cet enfant, afin de lui assurer la vie après la lui avoir donnée, sans le quitter d'un instant, l'entourant d'affection et de tendresses, afin que, dans un épanouissement de santé, il pût sourire au retour de son père! D'ailleurs, l'absence du capitaine John ne devait durer que six mois. Dès qu'il aurait rechargé
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