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Mis à jour: 19 juin 2025
La politique, dans toutes les sociétés que j'ai vues, roulait beaucoup plus sur les affaires de Hollande que sur celles de France. Tout le monde parlait d'apprêts pour une guerre avec l'Angleterre; mais les finances françaises sont dans un tel désordre, que les mieux informés la déclarent impossible. Le marquis de Vérac, dernier ambassadeur
M. de Vérac regardait Laurent avec stupeur, et Laurent, l'homme le plus chatouilleux de la terre
Le reste des habitants se composait ainsi: La comtesse de Vérac, née Vintimille, dame d'honneur de madame la duchesse d'Orléans dès Palerme, excellente personne, dévouée
À ces hommes retentissants du passé ou de l'avenir se joignaient, comme un fond de tableau de cheminée, quelques hommes assidus, quotidiens, modestes, tels que le marquis de Vérac, le comte de Bellile; ceux-l
C'est que vous ne savez pas combien j'ai été coupable et absurde. Une infidélité! elle me l'eût pardonnée, j'en suis sûr; mais des injures, des reproches... pis que cela, Vérac! je lui ai dit le mot qu'une femme qui se respecte ne peut pas oublier: Vous m'ennuyez! Oui, le mot est dur, surtout quand il est vrai. Mais s'il ne l'était pas? si c'était un simple moment d'humeur?
Mes opinions en 1814. Dispositions du parti royaliste. Arrivée du premier officier russe. Message du comte de Nesselrode. Prise de la cocarde blanche. Aspect du boulevard. Entrée des Alliés. Dîner chez moi. Déclaration des Alliés. Conseil chez le prince de Talleyrand. Le marquis de Vérac. Réunion chez monsieur de Morfontaine. Attitude des officiers russes. Bivouac des cosaques aux Champs-
Il est peu sensé et peu honorable de méconnaître, quand on n'en sent plus le pressant aiguillon, les vraies causes des événements. La nécessité, une nécessité qui pesait également sur tous, sur les royalistes comme sur les libéraux, sur M. le duc d'Orléans comme sur la France, la nécessité d'opter entre la nouvelle monarchie et l'anarchie, telle fut, en 1830, pour les honnêtes gens et indépendamment du rôle qu'y jouèrent les passions révolutionnaires, la cause déterminante du changement de dynastie. Au moment de la crise, cette nécessité était sentie par tout le monde, par les plus intimes amis du roi Charles X comme par les plus ardents esprits de l'opposition. Quelle autre force que le sentiment d'une situation si pressante eût pu décider l'adhésion si prompte de tant d'hommes honorables qui déploraient l'événement? Comment expliquer autrement les paroles prononcées, dans la Chambre des pairs, par le duc de Fitz-James, le duc de Mortemart, le marquis de Vérac, en prêtant serment au régime nouveau ? Que d'autres, par affection ou par honneur, se retirassent de la vie publique, leur retraite, aussi inactive que libre, constatait elle-même le grand et vrai caractère de l'événement qui s'accomplissait; une même conviction dominait, ce jour-l
Je le compris très bien, mais j'affectai de me tromper, et je lui répondis également tout bas: «Il loge chez monsieur de Talleyrand». Monsieur de Vérac fut complètement déconcerté; mais le plaisant c'est qu'il n'osa jamais relever ma méprise et expliquer de quel Empereur il s'informait. C'est la seule petite vengeance que j'ai exercée contre la chambellanerie impériale.
Monsieur de Vérac, rouge de colère, se leva tout droit et répondit très haut: «Non, sire, je ne suis pas une coquecigrue.» Le Roi, très en colère aussi, reprit en haussant la voix: «Eh bien, monsieur, savez-vous ce que c'est qu'une coquecigrue? Non, sire, je ne sais pas ce que c'est qu'une coquecigrue. Eh bien, monsieur, ni moi non plus!»
Eh bien, sachez que mademoiselle Jacques me quitte, et que j'en ai beaucoup de chagrin. Comprenez-vous? Non! dit Vérac en souriant; mais je ne suis pas forcé...
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