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Les jeunes musiciens d'aujourd'hui se feraient difficilement une idée de l'état de la musique en France, au moment parut Gounod. Le beau monde se pâmait d'admiration devant la musique italienne; on sentait encore les ondulations des grandes vagues sur lesquelles la flotte portant Rossini, Donizetti, Bellini, et les merveilleux chanteurs interprètes et collaborateurs de leurs œuvres, avait envahi l'Europe; l'astre de Verdi, encore voilé des brumes du matin, se levait

et brillante aussi de virtuosité dans la piquante sicilienne de Verdi; grands applaudissements pour MM. Gremminger et Eberius, du théâtre de Carlsruhe; la scène d'Orphée largement rendue; l'adagio de la symphonie en si bémol de Beethoven purement et poétiquement chanté par l'orchestre. Cela gonfle le cœur; douleur de ne pouvoir exprimer ce qu'on sent. C'est de la musique d'une sphère supérieure. Beethoven est un Titan, un Archange, un Trône, une Domination. Vu du haut de son œuvre, tout le reste du monde musical semble lilliputien.... Il a pu, il a même paraphraser l'apostrophe de l'

Si vous y laissez un souvenir, et que vous veniez le reprendre quelque temps après, vous le retrouverez plus verdi de mousse et plus fourmillant de cloportes et d

Verdi! C'est toute l'Italie victorieuse, de Victor-Emmanuel II jusqu'

Le parquet de bois clair mire la fresque inverse trône le Héros que la Victoire illustre; L'éclair silencieux rôde de lustre en lustre, Et le soleil s'irise au cristal qu'il traverse. Le glorieux Passé, nu sous son laurier d'or, Par les fenêtres, voit se refléter encor, Dans l'échiquier verdi des portes de miroirs,

En sortant de chez Verdi, je fus entraîné

Il ne m'a rien communiqué de son opéra d'Iwan le Terrible, et je ne sais pas si, en l'écrivant, comme le croit M. Pigot dont le livre sur lui est très documenté, il s'était inspiré de Verdi. Puisqu'il l'a, pense-t-on, brûlé plus tard, il y a l

En disant cela, Calistus Munbar est si chaleureux que ses auditeurs en sont impressionnés. Il parle de Saint-Saëns, de Reyer, d'Ambroise Thomas, de Gounod, de Massenet, de Verdi, et des chefs-d'oeuvre impérissables des Berlioz, des Meyerbeer, des Halévy, des Rossini, des Beethoven, des Haydn, des Mozart, en homme qui les connaît

Peu après la mort, en 1835, de Bellini, l'inoubliable auteur de la Somnanbula et de la Norma, Verdi, l'immortel créateur de tant de chefs-d'œuvre, entrait en scène et ne devait cesser de produire avec une rare fécondité ses merveilleux ouvrages, toujours au répertoire de tous les théâtres du monde.

Oh! lis atiramen de l'aigo blouso, Quand lou sang nòu espilo dins li veno! L'aigo que ris e cascaio ajouguido Entre li coudelet, emé li sòfi Qu'arrapon en sautant li damisello E li mouissau di vèrdi bourdigaio! L'aigo poulido e crudèlo e felouno Qu'embelino e pivello l'innoucènci En fasènt lusi li tremoulino De soun mirau! Ninèio,