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Mis à jour: 12 octobre 2025


La pomme de terre est l'unique richesse de cette partie de la Savoie. Les paysans pensent qu'en établissant une couche de fumée sur la région moyenne des montagnes, ils interceptent l'air des régions supérieures et préservent de son atteinte le fond des gorges. J'ignore s'ils font bien. Si je voyageais aux frais d'un gouvernement, d'une société savante ou seulement d'un journal, j'apprendrais cela, et bien d'autres choses encore, que je risque fort de ne savoir jamais mieux que la plupart de ceux qui en parlent et en décident. Ce que je sais, c'est que cette ligne de feux, établie comme des signaux tout le long du ravin, m'offrit, au milieu de la nuit, un spectacle magnifique. Ils perçaient de taches rouges et de colonnes de fumée noire le rideau de vapeur d'argent la vallée était entièrement plongée et perdue. Au-dessus des feux, au-dessus de la fumée et de la brume, la chaîne du Mont-Blanc montrait une de ses dernières ceintures granitiques, noire comme l'encre et couronnée de neige. Ces plans fantastiques du tableau semblaient nager dans le vide. Sur quelques cimes que le vent avait balayées, apparaissaient, dans un firmament pur et froid, de larges étoiles. Ces pics de montagnes, élevant dans l'éther un horizon noir et resserré, faisaient paraître les astres étincelants. L'œil sanglant du Taureau, le farouche Aldébaran, s'élevait au-dessus d'une sombre aiguille, qui semblait le soupirail du volcan d'où cette infernale étincelle venait de jaillir. Plus loin, Fomalhaut, étoile bleuâtre, pure et mélancolique, s'abaissait sur une cime blanche, et semblait une larme de compassion et de miséricorde tombée du ciel sur la pauvre vallée, mais prête

Le début de mon voyage se passa sans incidents dignes d'être rapportés; la journée était belle, le soleil resplendissant dorait la cime des arbres de la forêt. Je voyageais sous un dôme de verdure naturelle, des myriades d'oiseaux voltigeaient en chantant et paraissaient peu effrayés de ma présence; je fis environ quarante-cinq

Non, monsieur Brusch, pas en touriste. Je voyageais

M. Louaisot l'ancien était notaire royal au gros bourg de Méricourt-lès-Dieppe. J'entrai chez lui maigre comme un coucou et j'y devins étique. Il faisait de nombreuses affaires dans les campagnes. Il trouvait toujours que je mangeais trop et que je ne voyageais pas assez. J'étais en route depuis le point du jour jusqu'au soir. Cela ne me fit pas grandir

Je voyais encore l'infortuné Maleck que sa langue coupée n'empêchait pas de parler, et cela ne me surprenait pas beaucoup. Puis, je voyageais dans le désert, j'étais étouffé sous des montagnes de sable et je m'ouvrais la poitrine pour étancher la soif de Djémilé mourante.

»Une fois remis en marche, nous ne nous perdîmes presque pas de vue. Je voyageais seul avec un mécanicien qui put,

Craignant quelque mauvaise affaire je me hâtai de partir pour Rome. Je voyageais en pèlerin, jouant du violon et chantant des cantiques le long des routes, mais parfois l'archet entraînait la main, le cantique finissait par une chanson, et tout mon dévot auditoire me suivait en dansant. C'était ensuite

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descalzas

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