Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 12 juillet 2025


Je voyageais en diligence, et j'avais pour compagne une houri avec tous les yeux noirs possibles. J'ai une démangeaison terrible de raconter cette aventure, mais je me retiens. Le calendrier marquait alors 18.., et nous sommes en 18... Puis-je l'oublier, grand Dieu, en voyant ce que m'entoure! Enfin, nous voil

Comme j'allais reprendre la valise que j'avais déposée dans un coin sombre de la grande antichambre se remarquaient de hauts fauteuils dorés, dans le goût italien du dix-huitième siècle, je lui dis qu'elle renfermait des manuscrits qui ne me quittaient jamais quand je voyageais. Verdi, se saisissant brusquement de mon colis, me déclara qu'il agissait absolument comme moi, ne voulant jamais se séparer de son travail en cours. Que j'eusse préféré que ma valise contînt sa musique plutôt que la mienne! Le maître m'accompagna ainsi, jusqu'

Je fis en route une épouvantable chute, mais elle n'eut aucune suite fâcheuse. Je voyageais, la nuit, entre Turin et Suze, dans une grande berline, avec ma femme et deux aides de camp. Le Piémont étant infesté de brigands, la voiture était remplie d'armes. À deux lieues de Suze, passant sur un pont établi sur le lit d'un torrent, la roue droite s'enfonça jusqu'au moyeu; le poids de la caisse fit rompre la roue; la voiture tomba sur l'impériale,

Ainsi, lorsque le 18 au matin les officiers arrivèrent, le passage était commencé. Nous avions quitté Chaudron pendant la nuit; on portait M. de Lescure dans un lit qu'on avait couvert du mieux qu'il avait été possible: il souffrait horriblement. Je voyageais

Au mois de décembre 1846, je voyageais en Afrique avec mon fils, Auguste Maquet, Louis Boulanger, Giraud et Desbarolles. Nous avions quitté, cinq ou six heures auparavant, ce nid d'aigle qu'on appelle Constantine, et nous étions forcés de faire halte et de passer la nuit au camp de Smendou.

J'avais fait embarquer mes effets et je voyageais

Je partis de Paris le 15 avril, avec le triste pressentiment que j'allais faire une campagne désagréable sous tous les rapports. Mes premiers pas semblèrent justifier cette prévision, car une des roues de la chaise de poste dans laquelle je voyageais avec mon domestique Woirland se brisa

Quand le sifflet de la locomotive m'annonça ma ville natale, je faillis être suffoqué par l'ouragan de soupirs qui me gonfla la poitrine. Il y avait trois ans que je voyageais. Trois ans! je trouvais cela bien long, et maintenant il y aura bientôt dix ans que je n'ai pas revu mon beau Canada. Alphonse Kart a bien raison de dire que le plus pur patriotisme réside chez les exilés.

Ah! quel raffinement il y a dans la patience de la possession... qualis nox fuit illa... disait Pétrone... La pauvre mignonne se laissa consumer par l'ardeur de sa passion; elle mourut en janvier après plus de six mois de délices surhumaines. Je voyageais dans les brumes d'Angleterre lorsque ce navrant billet doux me parvint: «Je suis chez Dubois... tu sais, faubourg Saint-Denis...»

Une autre fois, je voyageais dans les parages de Marigondon, accompagné d'un guide. La chaleur était excessive, le soleil dardait perpendiculairement ses rayons sur un sol brûlant. Nos chevaux suivaient lentement une route peu fréquentée, éloignée de toute habitation. Nous rencontrâmes un Chinois qui voyageait aussi

Mot du Jour

profitent

D'autres à la Recherche