Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 15 juin 2025
Enfin on l'a recousue, on a noué tout cela avec du fil et des épingles... Ça ne fait rien, je t'assure que je vivrais cent ans, je n'oublierai pas ce que c'est qu'une opération césarienne. Et comment va-t-elle, cette pauvre diablesse, ce soir? demanda l'autre.
Je suis sobre comme un Bédouin; je vivrais de dattes et d'une once de farine, et, depuis huit jours, je me nourris de pain, de viandes froides et de fruits secs, ne voulant pas souffrir que Daniella perde,
Ici je lui dis que je vivrais avec lui maintenant jusqu'
Puis donc, Amour, que tu n'as pas voulu À ma tristesse accorder cette joie, Que dans mon coeur mon doux seigneur ait lu, Ni vu les pleurs où mon chagrin se noie, Dis-lui, du moins, et tâche qu'il le croie, Que je vivrais si je ne l'avais vu. Dis-lui qu'un jour une Sicilienne Le vit combattre et faire son devoir.
J'y vivrais cent ans, que je ne m'y habituerais pas... Mais la contessina est si belle, si bonne! Puis, tout en mettant elle-même sur la table une assiette de figues, elle le stupéfia, quand elle ajouta qu'une ville où il n'y avait que des curés ne pouvait pas être une bonne ville. Cette servante incrédule, si active et si gaie, dans ce palais, recommençait
Que Dieu lui pardonne! Je vais me dépêcher de l'oublier, car la colère et la méfiance composent un milieu où je ne vivrais pas mieux qu'un poisson sur un arbre. Ceux qui ne sont pas contents du dictateur disent qu'il aura des comptes sévères
Il était payé cher, le Bouddha, et comme redoré deux fois par le sang du pauvre Africain et du petit Céleste. Je vivrais cent ans que je verrais toujours ces deux cous coupés, ces deux têtes pendantes, l'une glabre et crispée, l'autre noire, convulsée, farouche. Un fils d'Afrique, un enfant d'Asie et, au-dessus, la statue d'or souriant, immobile,
Voici des fleurs pour vous: la chaude lavande, la menthe, la sauge, la marjolaine et le souci, qui se couche avec le soleil et se lève avec lui en pleurant. Ce sont les fleurs de la mi-été, et je crois qu'on les donne aux hommes d'un certain âge. Vous êtes les très-bienvenus. CAMILLO. Si j'étais un de vos moutons, je cesserais de paître et je ne vivrais que du plaisir de vous contempler.
Je vivrais cent ans que je n'oublierais pas l'émotion qu'ont produite en moi les paroles de cet homme; émotion tellement poignante, tellement vraie, que je ne veux même pas essayer de la faire revivre, ici, avec des mots. J'avais senti hier, pendant qu'Isabelle me parlait, j'avais senti qu'elle allait mourir. J'ai senti que cette femme, qui m'insultait justement, était déj
Comment oublier que, penché vers vous, j'ai épié votre réveil, que je vous ai soulevée, que votre tête s'est appuyée ici, sur mon bras!... Elle n'y a reposé qu'un instant, et pourtant il me semble que vos cheveux y ont laissé comme un parfum pénétrant et délicieux qui m'enivre, et qui ne saurait s'évaporer, quand je vivrais des siècles!...
Mot du Jour
D'autres à la Recherche