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Mis à jour: 22 juin 2025


Je vivais bien simplement; j'allais

Je vivais fort isolée sur ce paquebot, dit-elle, votre oncle avait acheté tous ceux qui auraient pu me renseigner. Je voyais souvent sur le pont cette jeune femme admirablement belle, mais triste, dont la pâleur était encadrée dans ses longs cheveux noirs. Pas une seule fois, monsieur le duc ne lui parla devant moi, et ce fut des années après seulement que je connus son nom.

Et au milieu de ce flot de paroles, de promesses, de louanges, elle m'embrassait, me caressait, me serrait sur son coeur; elle voulait me faire croire que je n'étais pas seule et que la reconnaissance ferait pour moi d'elle une soeur. Hélas! puisque je vivais encore, je ne demandais pas mieux que de me laisser persuader et de prendre la vie en patience. Je souris.

Tiens, pourquoi donc? Est-ce que je ne mangeais pas avant de connaître le patron? Je vivais mieux et j'étais libre. Rien qu'

Vous me haïssiez et je vous haïssais; dans ma jalousie aveugle, croyant frapper Octave au coeur, je m'enfuis avec ce grand d'Espagne qui n'avait de grand que sa grandesse. Tout naturellement je fus tout aussi «bizarre» avec lui qu'avec le prince. «Mais j'avais beau vouloir m'étourdir, je ne vivais que pour Octave; mon âme était toute

Au reste, je ne vivais plus que d'une vie machinale,

Venise!... On m'aurait dit que je vivais réellement que je n'y aurais pas cru, tant l'irréel de ces heures passées dans cette ville unique m'enveloppait de stupéfaction. N'étant pas M. Bædeker, dont le guide trop coûteux n'était pas dans nos mains, ce fut par une sorte de divination que nous découvrîmes, sans indications, toutes les merveilles de Venise.

Les gros yeux bleus de Joe se mouillèrent de larmes; il en frotta d'abord un, puis l'autre, avec le pommeau du poker, objet peu convenable pour cet usage, il faut l'avouer. «J'étais bien isolé, alors, dit Joe, car je vivais seul ici. Je fis connaissance de ta soeur, tu sais, mon petit Pip...»

Ma fièvre de destruction était bien tombée, maintenant... Je vivais dans un affreux dégoût de moi-même, dans une indicible horreur de mon crime, de mon meurtre... Il ne me restait plus que l'espoir, la consolation ou l'excuse que j'eusse gagné le mal de mon ami, et de mourir avec lui, en même temps que lui... L

Certes, tu faisais toute leur gloire, quand tu vivais; mais voici que la moire et la mort t'ont saisi!

Mot du Jour

l'égaierait

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