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Mis à jour: 22 juillet 2025


L'impression des gens avec lesquels je vivais était grave et triste: nous voyions, dans ce qui se passait, un résultat nécessaire des fautes commises; mais ce résultat nous apparaissait comme une fatalité sur laquelle on devait gémir tout en s'évertuant pour éviter qu'elle ne devint une calamité plus grande en jetant le pays dans l'anarchie.

Lorsque, dans mon exil, j'appris tous les malheurs qui pesaient sur la nation, que tous les droits du peuple étaient méconnus, et qu'il me reprochait le repos dans lequel je vivais, je ne perdis pas un moment. Je m'embarquai sur un frêle navire; je traversai les mers au milieu des vaisseaux de guerre de différentes nations; je débarquai sur le sol de la patrie, et je n'eus en vue que d'arriver avec la rapidité de l'aigle dans cette bonne ville de Grenoble, dont le patriotisme et l'attachement

Et comme il restait grave. Sans doute, j'ai eu aussi bien du chagrin. Je suis encore toute pâle, n'est-ce pas? Depuis huit jours, je vivais l

«Je vivais donc seule, entièrement livrée

J'étais le plus heureux des hommes, le plus fier aussi: je possédais un trésor dans la personne de madame X *; je savourais les joies de ma première conquête sérieuse. Je ne vivais plus que pour cette femme. Je cherchais

Il y avait plus de dix-huit mois que je vivais près d'elle, et pour la première fois je venais de la regarder comme on regarde quand on veut voir. Madeleine était charmante, mais beaucoup plus qu'on ne le disait, et bien autrement que je ne l'avais cru. De plus, elle avait dix-huit ans. Cette illumination soudaine, au lieu de m'éclairer peu

Mais l'oisiveté dans laquelle je vivais me devint bientôt insupportable; j'avais toujours mené une vie trop active pour qu'une transition aussi subite ne produisît pas en moi un effet nuisible

Chaque jour la contrainte je vivais, la dissimulation

Il me quitta, et je me sentis vivifié et comme béni par ses paroles. Cet homme tenait mon âme dans ses mains, et je ne vivais plus, pour ainsi dire, que de son souffle bienfaisant. En même temps que chaque aperçu de son lumineux esprit m'ouvrait les horizons du monde naturel et céleste, chaque élan de son coeur généreux et pur fermait une plaie ou ranimait une faculté du mien.

La nature est un drame avec des personnages: J'y vivais: j'écoutais, comme des témoignages, L'oiseau, le lys, l'eau vive et la nuit qui tombait. Puis je me suis penché sur l'homme, autre alphabet.

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