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Mis à jour: 5 mai 2025


Le plus souvent, les ombasias se contentent de prononcer des paroles magiques, en agitant sur la tête du patient des remèdes bizarres, morceaux de bois et autres amulettes. Voici une de ces incantations: «Sortez! sortez!... Quel est celui qui a jeté un sort sur le malade?... Moi, Raitsara, je n'interroge pas les vinta.

Les vinta sont beaux, je les tiens, ils ne partiront plus. Le miel est dans la gourde, il ne coule pas, il ne suinte pas. Je mange des arachides. Je tiens les vinta, et ils ne m'échapperont plus». Ces incantations ressemblent parfois

Les Tanala donnent le nom de fadrita ou de vinta aux causes plus ou moins imaginaires des maladies, jours néfastes, objets ou êtres malfaisants, attouchements impurs. Il en résulte que, pour guérir une maladie, il suffit d'en supprimer ou d'en conjurer les causes: cette opération s'appelle le fangala-paditra, et est du ressort des ombiasa.

Lors de la pleine lune, les vinta ont répandu leur fiel.... Heureux sera le jour je les détruirai! C'est le devin qui reçoit les offrandes, et le devin, c'est moi! Que la main du malade soit généreuse! Andriamitilimanana, ombiasa accroupi sur le sable! Andriamitilimanana, toi qui reposes sur le gravier!... Le renard est malade, l'écureuil a la fièvre. Je tiens les fadrita, car ils sont revenus.

Mot du Jour

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