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Mis à jour: 6 juin 2025
Il est beau de converser en rêve avec M. de Chateaubriand; il vaut mieux toutefois converser autrement. Vinet conversa par lettres avec M. de Chateaubriand. Ce fut M. de Chateaubriand qui entama les hostilités.
Vinet refusa parce qu'il entendait sans doute se réserver pour le journal de M. Lutteroth. Il écrivait un mois plus tard
Et Vinet revenait
Vinet envoya
Mais ce qui choque surtout Vinet et M. Deschanel, c'est l'argument suprême auquel le vieux martyr a recours. «Il n'a, disent-ils, nul besoin, pour mourir absous, d'être confessé par Jocelyn et de recevoir de ses mains la communion, ni, par conséquent, de contraindre au sacerdoce le clerc récalcitrant.
Ce volume publié par les amis de M. Vinet n'est que le premier de ceux qui paraîtront successivement, et qui nous offriront les Oeuvres complètes du savant et pieux auteur. Les volumes suivants contiendront quelques parties d'un Cours qui embrassait la littérature du dix-septième siècle et celle du dix-huitième. Les moralistes français y sont l'objet d'un examen approfondi, et l'on pourra reconnaître dans le critique qui les juge le coup d'oeil de leur égal et de leur pareil. Parlant du grand sermonnaire Bourdaloue, et de son existence cachée, en apparence si calme, si régulière, et d'où il ne nous est parvenu qu'une parole éloquente, M. Vinet a dit: «Quels Mémoires seraient plus intéressants que ceux de ce religieux, s'il eût pu songer
Le cours, en effet, était très suivi. Vinet attirait et retenait ses auditeurs et par ce qu'il disait et par la manière dont il le disait. Les témoignages des contemporains sont unanimes.
Il se plaignait également que Vinet lui eût reproché «de chercher l'avenir dans des arrangements sociaux et non dans l'invisible.» «Oserais-je aussi vous faire observer que quant
Les dernières années de M. Vinet ont été remplies de peines sensibles, et il est
Mais ce n'était pas aux contemporains seulement que M. Vinet réservait l'application de sa haute faculté critique. Nos moralistes, nos sermonnaires, ont exercé plus d'une fois son analyse. Montaigne, La Rochefoucauld, La Bruyère, Bourdaloue, lui ont fourni le sujet de considérations neuves et pénétrantes. Pascal surtout était son auteur de prédilection et d'étude; les publications récentes qui ont réveillé la curiosité autour de ce grand nom avaient été pour M. Vinet une occasion naturelle de développer ses propres vues, et d'exposer dans Pascal l'homme et le chrétien. On n'a rien écrit sur ce sujet de plus intimement vrai et de plus justement senti. La totalité des articles de M. Vinet sur Pascal, si on les réunissait dans un petit volume, présenterait, selon moi, les conclusions les plus exactes auxquelles on puisse atteindre sur cette grande nature tant controversée. Au reste, si M. Vinet comprenait si bien Pascal, il ne sentait pas moins vivement les esprits d'une autre famille, et il y eut un jour où lui, l'un des pasteurs du christianisme réformé, il songea
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