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Convaincu de cette nouvelle escobarderie des dignes successeurs de Loyola, M. Henri Lutteroth a cru devoir la dénoncer

M. Lutteroth ne se mit point en quête de l'éditeur que souhaitait Mme Vinet. D'autre part on chercherait vainement dans le Semeur «les fragments» que Vinet eût été heureux d'y insérer. Une lettre de Vinet

Or il n'en est pas. Une lettre de M. Lutteroth

M. Henri Lutteroth n'attarde qu'une médiocre importance politique, maritime et commerciale,

M. Henri Lutteroth est le rédacteur en chef du journal protestant qui a pour titre le Semeur et qui occupe un rang honorable dans la presse parisienne. Mais il le déclare dès le début, et nous ajoutons une foi entière

Le comité de Lausanne pensait que la difficulté n'était pas sérieuse et que M. Scholl triompherait aisément des scrupules de la famille. Il se trompait du tout au tout, et c'était M. Lutteroth qui avait raison d'éprouver quelque inquiétude. «Le terrain est extrêmement délicat», écrivait M. Scholl

Vinet refusa parce qu'il entendait sans doute se réserver pour le journal de M. Lutteroth. Il écrivait un mois plus tard

On lit dans l'Agenda de 1844: 27 mai. Trouvé une lettre de M. Lutteroth, avec une incluse de M. de Chateaubriand. 5 juin. 16 juin. Répondu

M. Lutteroth n'aurait pas eu de peine

Le comité refusa. Il refusa nonobstant les lettres pressantes de M. Lutteroth et de M. Scholl. M. Lutteroth écrivait le 17 août 1848, faisant allusion aux passages il est question du mariage de Madame de Staël: «Ces mots me paraissent justifier la peine qu'on en ressent, et si le comité n'y tient pas, je verrais avec plaisir qu'on accorde quelques retranchements