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Mis à jour: 13 juin 2025
Voici la comédie d'Aristophane: Un personnage nommé Trygée (comme qui dirait Vigneron, ou plutôt Vendangeur) ouvre la scène en se disposant
À soixante-huit ans bien sonnés, elle se porte comme un arbre, et n'a jamais été malade. Elle est d'une vivacité, d'une activité fatigante, et ne peut tenir en place que lorsqu'elle dort ou qu'elle joue au piquet, son jeu favori. Elle fait ses quatre repas par jour, mange comme un vendangeur et boit sec. Elle professe un mépris non déguisé pour les femmelettes de notre siècle, qui vivent une semaine sur un perdreau et arrosent d'eau claire de grands sentiments qu'elles entortillent de longues phrases. En tout elle a toujours été et est encore très positive. Sa parole est prompte et imagée. Sa phrase hardie ne recule pas devant le mot propre. S'il sonne mal
Parfois, au bruit des roues criant dans les chemins creux, Chicot éprouvait des terreurs subites. Il se rappelait les lourdes artilleries qui défonçaient les chemins de la France. Mais au détour du chemin, le chariot du vendangeur lui apparaissait chargé de tonnes pleines et d'enfants
Il faut, répondit le moine, suivre Celui qui est venu te chercher. Il te détache du siècle comme le vendangeur cueille la grappe qui pourrirait sur l'arbre et la porte au pressoir pour la changer en vin parfumé.
Le citoyen Mercier de Compiègne, auteur de la traduction du Vendangeur, de Rosalie et Gerblois, de Gérard de Velsen, etc., raconte ainsi dans un volume de ses Soirées de l'Automne, la vengeance d'un galant, qui avait éprouvé un pareil échec: LE FICHU MENTEUR.
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